Publié le 18/12/2017 à 0907 , mis à jour le 19/12/2017 à 0924 Ce lundi soir, la préfecture des Pyrénées Orientales a annoncé le décès d'une sixième petite victime. Avec ce nouveau décès, le bilan de la collision entre un autocar scolaire et un train régional à Millas s'est à nouveau alourdi. Communiqué de presseSuite à l’accident entre un train sur l’axe Villefranche de Conflent Perpignan avec un bus scolaire à hauteur du passage à niveau n°25de Millas, nous vous informons malheureusement du décès d’unevictime ce jour portant le bilan à 6 victimes décédées. — Préfet des Pyrénées-Orientales Prefet66 18 décembre 2017 Cette catastrophe a fait également dix-sept blessés. Pour cinq d'entre eux, des collégiens, le pronostic vital est toujours engagé. Plusieurs enquêtes sont en cours pour déterminer les raisons qui ont abouti à ce drame. La position des barrières sur ce passage à niveau est au centre des interrogations. Des dysfonctionnements récents sur d’autres passages à niveau de la ligne du TER Les barrières du passage à niveau de Millas étaient-elles ouvertes ou fermées quand le TER a percuté le bus scolaire jeudi dernier ? La conductrice du bus assure que ces barrières étaient ouvertes alors que le conducteur du train dit le plusieurs témoignages font état d'incidents et de dysfonctionnements des barrières sur la ligne quelques jours avant le drame selon nos confrères de l'Indépendant. Mickaël, un livreur de Saint-Feliu-d'Avall raconte une scène vue trois jours avant la collision sur un passage à niveau de la ligne Perpignan/Villefranche-de-Conflent "C'était entre 6h30 et 7h00 du matin. On était quatre voitures, j'étais en deuxième position. Les barrières du passage à niveau se sont baissées mais elles se sont arrêtées à moitié. Et les feux qui clignotaient se sont arrêtés. On a eu peur. La dame devant moi est descendue de sa voiture et je lui ai dit "Je vais me mettre sur la voie et faire le guet pour que vous passiez". On s'est aidé comme ça à tour de rôle. J'ai appelé aussitôt le 17 pour signaler à la gendarmerie que le passage à niveau était en panne. Que les voitures pouvaient passer mais qu'on ne savait pas si un train allait arriver. Les gendarmes m'ont dit qu'ils allaient contacter la SNCF pour les avertir".Un autre témoin, Nicolas, raconte que sur un passage à niveau du Soler, non loin de là , il y a un mois et demi, "les barrières d'un passage à niveau ne se sont pas relevées après le passage du train. On était une vingtaine de véhicules et on a dû faire du zigzag entre les barrières pour passer". Nul doute que ces témoignages vont fortement intéresser les enquêteurs. Le Procureur de la République de Marseille, Xavier Tarabeux, qui s'est rendu sur place samedi, a indiqué que les gendarmes avaient saisi "des éléments matériels" notamment "le bloc d'articulation de la barrière", tendant à montrer qu'elle était fermée. Retour en classe ce lundi matin Les cours ont repris au collège ce lundi matin. Photo AFP Les cours ont repris à 8h30 ce lundi matin au collège Christian Bourquin de Millas. On imagine que l'émotion et le chagrin ont dû être forts pour les élèves qui ont perdu leurs camarades et le corps enseignant."C'est très dur ce matin même si l'équipe enseignante est formidable et les soutient", explique la maman de Clélia qui est venue "la boule au ventre". "Ils savent maintenant quels sont les copains qui sont partis. Ils vont voir que leurs camarades ne sont plus à côté d'eux", poursuit Alexia, une autre maman, les larmes aux yeux. Une équipe de psychologues est présente dans l'établissement pour encadrer les collégiens. Elle restera pendant plusieurs semaines au collège. Pendant les vacances de Noël, une permanence sera assurée. Ce matin, des collégiens de Saint-Féliu-d'Avall ont repris le car. Le bus a emprunté un autre itinéraire et a dû franchir un passage à niveau mais aucun train ne circule sur la ligne aujourd'hui et demain. "Les bus vont emprunter un autre itinéraire toute la semaine" a expliqué la présidente du conseil départemental des Pyrénées-Orientales Hermeline Malherbe sur France Info. "Ce nouvel itinéraire passera forcément par un autre passage à niveau". Le département a donc décidé de "placer une personne qui va rester à ce passage à niveau pour rassurer, au moment du passage, les bus et surtout les jeunes qui sont dans les bus". Messe et recueillement L'évêque de Perpignan, Mgr Norbert Turini, a présidé une veillée de prières dimanche soir dans l'église de Saint-Féliu-d'Avall où des enfants du village étaient assis au premier rang. Une centaine de personnes, qui n'ont pas pu rentrer faute de place, ont suivi la veillée à l'extérieur. "Il y a des choses qui ne peuvent se dire qu'avec les larmes .... Nous voulons les aider à surmonter l'insupportable, l'innommable, a dit l'évêque, même si ce n'est pas juste, pas normal de souffrir si jeune". Les habitants se sont rassemblés devant la mairie de Saint-Féliu-d'Avall dimanche. Photo AFP Pascal Pavani Plus tôt dans la journée, une messe avait eu lieu dans la matinée avant un rassemblement près de la mairie. Accrochés aux grilles de la mairie, des bouquets de fleurs blanches et des livres de condoléances sur lesquels on peut lire "Des mots c'est tout ce qu'on peut apporter ... Dérisoires devant notre détresse. Nous pensons à vous tous qui êtes détruits par cette catastrophe". Une chapelle ardente mercredi Le Procureur de la République va tenir une réunion d'information à l'intention des parents des enfants victimes de l'accident, mardi à 15h00 au tribunal de grande instance de Perpignan, pour les tenir informés "des investigations en cours et du déroulement de l'enquête".Mercredi, une chapelle ardente sera mise en place à la salle polyvalente de Saint-Féliu-d'Avall de 10 heures à 19 le préfet des Pyrénées-Orientales rendra hommage aux 5 victimes à 9 heures et une messe sera célébrée vers 9h30 à Saint-Féliu-d'Avall.Regardezl'émission Accident de car de Millas en replay. Toute l'actualité et vos émissions à voir en streaming sur votre ordinateur et smartphone avec RMC BFM PLAY . Accueil. Chaines. Thématiques. Direct. Guide TV. Mes Vidéos. Se connecter S'inscrire . Accident de car de
Documentaire société de 1h45min de 2018Retour sur un drame de la circulation routière qui a coûté la vie à six enfants et fait 17 blessés sur un passage à niveau des La catastrophe du car de MillasSynopsisLe 14 décembre 2017, un car scolaire attend 23 collégiens devant leur établissement, à Millas, dans les Pyrénées-Orientales. Mais en cet après-midi d'hiver, l'autocar n'arrivera jamais à destination. Un an après la catastrophe, les familles des victimes demeurent sans réponse. Que s'est-il passé lorsque le car scolaire a tenté de traverser le passage à niveau n°25 ? Un TER a percuté le véhicule. L'accident a coûté la vie à 6 enfants et fait 17 blessés. La conductrice de l'autocar, mère de famille de 46 ans, affirme que les barrières étaient levées au moment du choc. La SNCF assure qu'il n'y a eu aucun dysfonctionnement? S'agit-il d'une erreur humaine ou d'une défaillance du passage à niveau ?Untrain est entré en collision avec un car scolaire à Millas, dans les Pyrénées-Orientales, ce jeudi après-midi. Au moins quatre morts et onze personnes en Mercredi 10 novembre à 2105, W9 vous proposera de voir ou de revoir le documentaire  Catastrophe du car de Millas que s'est-il vraiment passé ? » réalisé par Lisa 14 décembre 2017, 16 heures. Au collège Christian-Bourquin de Millas, dans les Pyrénées-Orientales, l'heure de la fin des cours a sonné. Devant l'établissement scolaire, un autocar attend les vingt-trois collégiens habitant les communes voisines. Plus que quelques minutes de trajet, et chacun rentrera chez soi. Mais en cet après-midi d'hiver, l'autocar n'arrivera jamais à destination… Que s'est-il vraiment passé ?Un an après la catastrophe, et alors que les familles des victimes sont sans réponse, ce documentaire lève le route de Thuir, à la sortie de Millas. Tandis que le car scolaire traverse le passage à niveau n°25, un TER s'engage sur la voie ferrée et percute violemment le véhicule. La collision est telle que le bus se coupe en deux.  Une véritable scène de guerre », déclarera le préfet de la région. L'accident coutera la vie à six enfants et fera dix-sept blessés. Toute la ville plonge dans le chagrin et l'incompréhension comment un tel drame a-t-il pu se produire ?Interrogée par les enquêteurs, la conductrice de l'autocar, une mère de famille de 46 ans, affirme que les barrières étaient levées au moment du choc. Seulement, des automobilistes témoins de la scène vont venir contredire cette version. De même, la SNCF assure qu'il n'y a eu aucun dysfonctionnement qui dit vrai ? S'agit-il d'une erreur humaine ou d'une défaillance du passage à niveau ? C'est ce que découvrirez grâce aux nombreuses révélations de ce documentaire aux témoignages inédits. Quatrejours après le drame de Millas (Pyrénées-Orientales) qui a causé la mort de cinq enfants, l’avocat de la conductrice du car scolaire percuté par un train, a pris la parole ce lundi. Infos › Société › TRANCHES D'HISTOIRES le crash de 1962 à Deshaies Société Par 23/06/2018 - 1708 • Mis à jour le 23/06/2018 - 1708 Guadeloupe 103 passagers périssaient dans ce crash survenu le 22 juin 1962 dont 3 personnalités politiques, le Guadeloupéen Albert Béville, l’un des leaders du Front Antillo-Guyanais pour l’Autonomie, le député autonomiste guyanais Justin Catayé et Roger Tropos, président de l'association des étudiants martiniquais. Cette tragédie est restée gravée dans la mémoire des antillais et guyanais, d’autant que ses causes n’ont jamais été éclaircies. Le vol 117 d'Air France est un vol reliant Paris à Santiago Chili via Lisbonne Portugal, Santa Maria Açores, Pointe-à -Pitre Guadeloupe, Bogota Colombie et Lima Pérou. Le vol du 22 juin 1962 assuré par le Boeing 707 immatriculé F-BHST s'écrase sur le morne du Dos d'Âne à Deshaies en Guadeloupe, alors qu'il est en approche sur l'aéroport du Raizet de Pointe-à -Pitre, provoquant la mort des 103 passagers et des dix membres d'équipage. Le Boeing 707, immatriculé FBHST et baptisé Château de Chantilly, avait été livré à Air France quelques mois plus tôt, en mars 1962. C'était l'un des 18 Boeing 707 qu'exploitaient alors la compagnie. L'avion n'affichait que 963 heures de vol. Il avait fait l'objet d'une inspection la semaine précédente. L'avion décolle de l'aéroport d'Orly à minuit, heure locale. À l'escale de Lisbonne quelques passagers descendent et huit autres embarquent. Après une nouvelle escale aux Açores, l'avion se dirige vers la Guadeloupe, où il arrive de nuit, vers 4 h du matin. Le temps est orageux, avec des éclairs, de la pluie et des vents de 30 à 40 nœuds. L'avion fait une première approche vers la piste dans des nuages bas mais a semble-t-il des problèmes avec son train d'atterrissage. Il survole la piste et fait alors un demi-tour sur la gauche, selon la procédure d'approche interrompue. L'équipage s'annonce à la verticale de la balise NDB à 5000 pieds, puis la communication avec la tour de contrôle est perdue et quelques minutes plus tard, l'avion heurte la montagne dite du Dos d'Âne, à environ 420 mètres d'altitude, dans une zone boisée à 23 kilomètres de l'aéroport. Les dix membres d'équipage et les 103 passagers, principalement français et sud-américains, sont tués. Parmi eux Albert Béville alias Paul Niger, écrivain, administrateur et militant politique, Justin Catayéé, député de Guyane, Jorge Gaitán Durán, écrivain colombien. L'écrasement de l'avion n'a pas fait de victimes au sol. Les causes exactes de l'accident restent à ce jour, inconnues. Le crash s'est produit sous un orage mais dans des conditions météorologiques acceptables pour un quadriréacteur comme le Boeing 707. L'aéroport n'était à l'époque pas équipé d'ILS et son VOR était hors service, impliquant une procédure d'approche NDB, moins précise. Le morne du Dos d'Âne se situe dans l'axe de la piste d'atterrissage mais à 23 km du seuil de piste, loin de la trajectoire d'approche. Il est possible que les indications du radiocompas ADF aient été perturbées par l'orage, faisant dévier l'avion à 15 km de la trajectoire nominale. La présence à bord de plusieurs personnalités politiques partisanes de l'autonomie des Antilles et de la Guyane françaises, dont Albert Béville et Justin Catayée, ont donné lieu à la rumeur d'un sabotage ou d'un attentat. Si la thèse de l’attentat n’a pu être démontrée, celle de l’accident a laissé des doutes. Sur ce site, des stèles commémoratives rappellent la catastrophe. Elles ont été érigées, en mémoire des victimes, dédiée à Justin Catayé et celle en hommage à Albert Béville pour le cinquantenaire de l'événement. Des débris d'avion témoignent encore de la violence du choc. Sources&images OfficedutourismeGuadeloupe,UneautrehistoireClaudeRibbe, Wikipédia, À lire également Lejeudi 14 décembre 2017 à 16 heures, au collège Christian-Bourquin de Millas, dans les Pyrénées-Orientales. Ll'heure de la fin des cours a sonné. Un autocar attend les 23 collégiens habitant les communes voisines. Plus que quelques minutes de trajet, et chacun rentrera chez soi. Mais en cet après-midi d'hiver, l'autocar n'arrivera jamais à destination. Que s'est-il vraiment La neutralisation du système d’élimination des NOx sur les poids-lourds est devenue une pratique courante… et elle touche, désormais, les automobiles. Ce qu’il faut savoir. Auto Moto vous révélait, en exclusivité, qu’un nombre croissant de camions avaient recours à un petit boîtier permettant de neutraliser le système SCR élimination des NOx, dans le but d’économiser de l’AdBlue, l’additif nécessaire à la dépollution. Depuis, la chaîne allemande ZDF a mené une enquête de longue haleine, prouvant que le mal est bien plus grave qu’on ne l’imagine. Elle a, d’abord, fait mesurer les émissions de camions euro 5 et euro 6 en circulation. On s’est ainsi rendu compte que la plupart des poids-lourds venant des pays de l’Est dépassent, parfois, la norme de plus de 20 fois ! Bien qu’il s’agisse de camions modernes, ils émettent autant de NOx que des poids-lourds euro 1 du début des années 1990. Le phénomène n’est pas marginal 20 % des camions immatriculés en Europe de l’Est circuleraient avec un dispositif de neutralisation du système SCR. Selon le professeur Tomas Koch, spécialiste des moteurs de poids-lourds à l’institut de technologie de Karlsruhe, cette tricherie augmente les émissions de NOx de… 14 000 t/an, rien qu’en Allemagne. Par comparaison, le scandale du dieselgate, ayant impliqué le groupe Volkswagen, ne serait responsable que de 7 000 t/an d’émissions supplémentaires aux États-Unis. Autant dire qu’il est urgent de prendre des mesures coercitives. => Scandales des émissions les camions trichent aussi En Pologne, en Roumanie ou en Bulgarie, la police procède déjà à des contrôles, car l’usage de boîtiers AdBlue Emulator y est courant. Les appareils sont disponibles sur Internet pour moins de 50 € et leur installation est réalisée en une dizaine de minutes par des officines peu scrupuleuses. Une fois en place, le boîtier neutralise la sécurité faisant fonctionner le camion en mode dégradé lorsque le réservoir d’AdBlue est vide. Un interrupteur permet de réactiver le système de dépollution, en cas de contrôle, sans qu’aucune trace ne soit visible. La fraude est si efficace et si facile à mettre en œuvre qu’elle commence à toucher l’automobile ! Pour 30 € et sans risque, on peut supprimer la consommation d’AdBlue d’une voiture Jusque-là , les diesels européens installés sur les voitures n’étaient pas soumis à des normes très sévères en matière de rejets de NOx. La norme la plus récente, euro 6b, tolère 80 mg/ km, soit 2 fois plus que la norme américaine et avec une procédure de mesure bien plus facile. En France, la consommation d’AdBlue d’une automobile équipée d’un système de réduction catalytique sélective SCR se situe aux alentours de 1 litre tous les 8 000 km. Ce n’est pas du tout la même chose aux États-Unis, où un Dodge RAM Ecodiesel, par exemple, engloutit 25 litres d’AdBlue tous les 10 000 km, sa consommation pouvant grimper à 1,6 l/100 km sous forte charge tractage d’une remorque. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’une jauge de niveau d’AdBlue est ajoutée au tableau de bord. Et il vaut mieux la surveiller, car si elle tombe à zéro, la voiture ne redémarre pas ! Dans ces conditions, on comprend que les usagers puissent s’intéresser à un système AdBlue Emulator for car. On en trouve facilement sur Internet et leur installation reste enfantine. Mais ne croyez pas que la pratique se cantonne aux véhicules particuliers diesel vendus outre-Atlantique. À partir de septembre 2017, la norme euro 6c, ainsi qu’un nouveau protocole d’homologation WLTP beaucoup plus exigeant avec des tests sur route, va entrer en vigueur. Pour y répondre, les systèmes SCR vont donc être recalibrés avec, en corollaire, des hausses importantes de consommation d’AdBlue. Comme une Peugeot 308 BlueHDi 130 ch un nouveau moteur vendu depuis la rentrée réclame 1 l/1 000 km d’AdBlue voire beaucoup plus sur autoroute difficile de croire que personne ne sera tenté par la solution AdBlue Emulator, en vente libre pour moins de 30 €. La liste des produits, principalement fabriqués en Chine, s’allonge tous les jours. Et si l’on cherche un peu, il est facile de trouver un installateur près de chez soi… pour ceux qui ne parleraient pas chinois. Il y a également peu de risque d’être pris. Si la suppression du filtre à particules est désormais détectable au contrôle technique, la présence d’un AdBlue Emulator restera, elle, invisible. Vouloir rendre les diesels plus propres, c’est bien, mais encore faut-il s’assurer qu’ils le restent à l’usage. L’État, si prompt à nous verbaliser pour 1 km/h de trop, serait bien inspiré de se préoccuper de graves problèmes d’environnement avant qu’un second dieselgate ne terrasse, définitivement, le marché du diesel. Photo DR + Marin Thomas / Getty Images A lire sur Les diesel récents sont-ils plus polluants ? Particules les freins en accusation Diesel sale la France championne d’Europe
MylèneFarmer, sans contrefaçon. 1 documentaire. Alors que Mylène Farmer sort le 4 décembre prochain un nouvel album best-of de 52 titres, « Histoires de », nous vous proposons pour l'occasion un portrait inédit de cette artiste, l'une des chanteuses préférées des Français, sinon la plus populaire. 29 ans après, son hit « Désenchantée », vendu lors de sa sortie en 1991 à 1 300
Deux mois après la collision mortelle entre un car et un TER à Millas dans les Pyrénées-Orientales, des parents de victimes ont créé mercredi l'association "À la mémoire de nos anges" pour "mieux faire entendre la parole des proches de victimes auprès de l'opinion publique". "À la mémoire de nos anges" Des parents de victimes de l'accident de Millas ont annoncé mercredi 14 février, la création de l'association "À la mémoire de nos anges", deux mois après la collision entre un car scolaire et un train, qui a fait six morts. Son objectif est d'aider les victimes d'accidents collectifs et à améliorer leur prise en charge. L'association dit vouloir "mieux faire entendre la parole des proches de victimes auprès de l'opinion publique, des pouvoirs publics et de l'ensemble des acteurs chargés de gérer ce type de situation de crise", écrit-elle dans un communiqué. "À la mémoire de nos anges" a également organisé un groupe de parole et diverses manifestations pour ne pas oublier le conductrice du car mise en examen Six adolescents sont morts dans la catastrophe de Millas le 14 décembre dernier, après une collision entre un car scolaire et un TER. Deux témoins, qui se trouvaient en voiture de l'autre côté du passage à niveau, ont affirmé aux gendarmes que les barrières étaient fermées au moment de la collision et que la conductrice du car avait forcé le passage. Cette dernière a été mise en examen le 20 décembre pour "homicide et blessures involontaires". Elle soutient que les barrières du passage à niveau étaient relevées au moment du drame. 28cK4.