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Sommaire1 Comparatif pour acheter des crĂšmes anesthĂ©siantes avec ou sans ordonnance2 La crĂšme anesthĂšsiante EMLA 5%, Base de Quand utiliser la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA 5% ? Mise en garde de la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA ? CrĂšme anesthĂ©siante EMLA, avec ou sans ordonnance ?3 CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance, Dynexangival 1 %4 CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance MaxilĂšne5 CrĂšme anesthĂ©siante Pliagilis6 Dr NUMB, la crĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance Comment fonctionne Dr Numb ?7 CrĂšme anesthĂ©siante Anesderm Comparatif pour acheter des crĂšmes anesthĂ©siantes avec ou sans ordonnance Dans le monde des crĂšmes anesthĂ©siantes, il y a beaucoup de produit. Nous vous expliquons ici la diffĂ©rence de chaque crĂšme anesthĂ©siante pour que vous puissiez faire votre choix ! Nom de la crĂšmeOrdonnanceDurĂ©e d'actionRemboursĂ©Temps d'application Emla 5%Oui4h65%10min Dr NmbNon3hNon30s Anesderm 5%Oui4h65%60min PliagilisOui2hNon30min MaxilĂšneNonXNonX Dynexangival 1 %Non1hNon5min Retrouvez maintenant, la description un peu plus technique de toutes les pommades anesthĂ©siantes. La crĂšme anesthĂšsiante EMLA 5%, Base de lidoicaĂŻne C’est une des crĂšmes anesthĂ©siantes avec ordonnance les plus connues ; Emla 5% est un anesthĂ©sique local dĂ©veloppĂ©, Ă  l’origine, pour insensibiliser une zone de la peau et les tissus peu profonds dans le cadre des interventions mĂ©dicales rapides. La creme Emla est composĂ© de lidocaĂŻne 2, 5g, de prilocaĂŻne 2,5g et de l’huile de ricin. EMLA serait Ă©galement utilisĂ© pour combattre la douleur des ulcĂšres des membres. Une autre utilisation d’EMLA serait la prise en charge de l’éjaculation prĂ©coce. Quand utiliser la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA 5% ? L’éjaculation prĂ©coce s’observe rĂ©guliĂšrement dans la vie de l’homme. Au tout dĂ©but des premiĂšres activitĂ©s sexuelles masculines, elle est presque inĂ©vitable. On la rencontre Ă©galement Ă  certains moments de la vie de l’adulte, surtout Ă  l’ñge mur. Elle atteindrait un quart de la population mĂąle. Elle se dĂ©finit comme l’atteinte involontaire d’un niveau d’excitation et du point de non retour amenant automatiquement Ă  une Ă©jaculation non dĂ©sirĂ©e de l’homme. L’éjaculation prĂ©coce serait dĂ©finie par l’incapacitĂ© de l’homme Ă  diffĂ©rer son Ă©jaculation dans un dĂ©lai infĂ©rieur Ă  une minute aprĂšs l’intromission du pĂ©nis. Dans ses indications relatives Ă  l’éjaculation prĂ©coce, les thĂ©rapeutes auraient proposĂ© l’utilisation des anesthĂ©siques locaux pour rĂ©duire la sensibilitĂ© de la verge et surtout du gland. Pour cela, la peau doit ĂȘtre trĂšs propre et sĂšche. Etaler une fine couche de crĂšme sur la base du gland. Pour Ă©viter des possibles rĂ©actions d’intolĂ©rance ou d’irritation, il est souhaitable de ne mettre que de petites quantitĂ©s de crĂšme anethĂ©siante. Il suffirait d’appliquer une petite noisette Ă  la base du gland dĂ©calottĂ©. Le temps de pose de ces crĂšmes anesthĂ©siantes sur ordonnance est au minimum de 10 minutes et au maximum d’une heure. La durĂ©e de l’effet de la crĂšme est de 4 heures. La crĂšme doit ĂȘtre totalement Ă©liminĂ©e avec de l’eau et du savon avant le rapport sinon les sensations du partenaire pourront ĂȘtre anesthĂ©siĂ©es. Les utilisateurs des crĂšme anesthĂ©siante recommandent de ne pas appliquer le produit sur tout le gland au risque d’induire une insensibilitĂ© totale de l’organe sexuel, rendant le rapport difficile sinon impossible. L’action anesthĂ©siante du produit n’agirait pas sur les nerfs de l’érection. AprĂšs le temps d’activitĂ© du produit, la sensibilitĂ© du gland revient progressivement ainsi que toutes les sensations de plaisir. L’éjaculation peut alors se produire. Mise en garde de la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA ? La quantitĂ© de crĂšme anesthĂ©qiante Ă  utiliser et le temps de rĂ©ponse maximale au produit dĂ©pendant de la constitution de chaque patient, il lui appartient de rechercher par plusieurs essais la quantitĂ© optimale et le temps d’attente nĂ©cessaire Ă  une bonne rĂ©ponse de son organisme et de celui de sa partenaire. Si le patient utilise un prĂ©servatif, le nettoyage du gland avant le rapport est facultatif. L’usage concomitant de la crĂšme anesthĂ©siante Emla et d’un prĂ©servatif retardent le risque de potentialiser les effets et d’arriver Ă  un rĂ©sultat contraire au but recherchĂ©. En effet, un risque de surdosage peut entraĂźner une insensibilisation de la verge rendant impossible l’intromission. Les produits spĂ©cifiques au traitement de l’éjaculation prĂ©coce seraient assez rĂ©cents en France. L’action des principes actifs de la crĂšme EMLA en tant que retardateur de l’éjaculation prĂ©coce vise Ă  diminuer la sensibilitĂ© du pĂ©nis et du gland et de permettre ainsi le contrĂŽle de l’excitation de l’homme. La qualitĂ© des sensations et de l’orgasme ne serait pas modifiĂ©e. Les effets de la crĂšme anesthĂ©siante s’estompent au bout de 4 heures. MolĂ©cule disponible depuis longtemps 1943, la lidocaĂŻne est le produit emblĂ©matique des anesthĂ©siques locaux de type amino-amide. Son nom signifierait qu’elle rendait les membres insensibles comme du bois, selon les racines grecques du nom. Elle agit en inhibant la conduction nerveuse par le blocage du canal sodique, ce qui explique le blocage de la douleur. Des effets indĂ©sirables importants pourraient toutefois survenir en cas de passage intravasculaire accidentel du produit toxicitĂ© neurologique et cardiaque. La lidocaĂŻne est un anesthĂ©sique local d’action rapide sur une longue durĂ©e avec une efficacitĂ© Ă©prouvĂ©e. CrĂšme anesthĂ©siante EMLA, avec ou sans ordonnance ? La lidocaĂŻne peut ĂȘtre utilisĂ©e dans les cas de douleurs dues Ă  des lĂ©sions bĂ©nignes des muqueuses buccales et gingivales aphtes, blessures traumatiques et prothĂ©tiques, irritation des gencives. Il est remboursĂ© Ă  65 % par la sĂ©curitĂ© sociale. EMLA est disponible sur ordonnance. CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance, Dynexangival 1 % CrĂšme anesthĂ©sante gencive ou buccale est Ă  base de lidocaĂŻne. Elle est rĂ©servĂ©e Ă  l’adulte et l’enfant de plus de 6 ans pour un usage local strict pat application buccale et gingivale. Il faudrait appliquer 0,2 mg de crĂšme et masser doucement la zone douloureuse. Dynexangival est une crĂšme anĂ©hĂ©siante disponible sans ordonnance. Elle agit contre la douleur mais n’a pas d’action sur sa cause. Il agit trĂšs rapidement et son effet dure une heure environ. Une attention particuliĂšre doit ĂȘtre de mise car, du fait de l’anesthĂ©sie locale, le patient risque de se mordre les lĂšvres, les joues ou la langue sans s’en rendre compte. La lidocaĂŻne Ă  2% alliĂ©e d’autres substances actives carraghĂ©nates, l’oxyde de zinc et le dioxyde de titane constituent la composition du TitanoreĂŻne, indiquĂ© dans le traitement symptomatique des sensations de brĂ»lures et des dĂ©mangeaisons de l’anus, dans le contexte des affections hĂ©morroĂŻdaires. Ce mĂ©dicament contient en outre des substances protectrices et cicatrisantes. CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance MaxilĂšne MaxilĂšne est une crĂšme anesthĂ©siante utilise un dosage de 4 ou 5% de lidocaĂŻne pour une crĂšme topique en vente libre sans ordonnace. MaxilĂšne 4 et MaxilĂšne 5 sont destinĂ©es Ă  traiter la douleur et la dĂ©mangeaison des brulures superficielles, les coups de soleil, les irritations de la peau et les piqĂ»res d’insectes. MaxilĂšne 5 est indiquĂ©e pour la prise en charge des problĂšmes hĂ©morroĂŻdaires. les crĂšmes anesthĂ©siantes MaxilĂšne sont rĂ©guliĂšrement utilisĂ©e pour supprimer la douleur de l’épilation. Il n’est pas nĂ©cessaire de prĂ©voir un pansement occlusif dans l’application de MaxilĂšne sauf dans le cas oĂč il aurait nĂ©cessitĂ© de prĂ©venir toute ingestion accidentelle comme dans le cas de certains jeunes patients. CrĂšme anesthĂ©siante Pliagilis la crĂšme anesthĂ©siante Pliagilis est composĂ© de deux anesthĂ©siques locaux, la lidocaĂŻne et la tĂ©tracaĂŻne, qui sont dissous dans l’épiderme et le derme oĂč ils se positionnent aux alentours des rĂ©cepteurs de la douleur et des terminaisons nerveuses. Ces deux principes bloquent les canaux ioniques nĂ©cessaires Ă  la transmission des influx nerveux pour permettre une anesthĂ©sie locale de la zone concernĂ©e. Un gramme de Pliagilis contient 70 mg de lidocaĂŻne et 70 mg de tĂ©tracaĂŻne. Pliagilis est surtout utilisĂ© dans les interventions dermatologiques comme la thĂ©rapie laser Ă  colorant pulsĂ©, l’épilation au laser, les injections de produits de comblement, les abords vasculaires
Il est recommandĂ© de l’appliquer pendant 30mn environ avant l’intervention. Pliagilis est aussi indiquĂ© avant les interventions d’ablation au laser des tatouages ou l’ablation des veines des jambes. Dans ces cas, il devrait ĂȘtre appliquĂ© 60mn environ avant l’intervention. Dans tous les cas, la surface concernĂ©e ne doit pas dĂ©passer 400 cmÂČ. La quantitĂ© de crĂšme anesthĂ©siante Ă  appliquer est d’environ 1,3 g de crĂšme par cm2 ce qui Ă©quivaut Ă  deux phalangettes. La crĂšme s’applique sur la peau saine et forme un film qu’on va dĂ©coller avant l’intervention mĂ©dicale. Sauf sur le visage, le patient peut s’appliquer lui-mĂȘme la crĂšme. Elle doit ĂȘtre conservĂ©e au rĂ©frigĂ©rateur +2 Ă  +8 °C ou Ă  tempĂ©rature ambiante ; une fois ouverte ou gardĂ©e hors frigo, elle se garde trois mois. Il est dĂ©conseillĂ© de l’appliquer sur une peau lĂ©sĂ©e, sur les muqueuses ou avant l’injection d’un vaccin vivant, car la lidocaĂŻne peut inhiber la croissance microbienne. L’application de Pliagilis doit ĂȘtre rĂ©alisĂ©e uniquement avec une spatule ou une abaisse langue. Pliagilis n’est pas remboursĂ© par la sĂ©curitĂ© sociale. Dr NUMB, la crĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance amĂ©ricaine Cette crĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance connaĂźt un engouement auprĂšs des gens adeptes des piercings, tatouages, Ă©pilation ou du botox. Les principes actifs de Dr. Numb seraient la lidocaĂŻne, la prilocaĂŻne et la benzocaĂŻne Ă  raison, respectivement de 5%,5%, 3%. Selon les informations fournies par ses promoteurs, la crĂšme anesthĂ©siante Dr Numb doit son efficacitĂ© Ă  l’action synergique de ses 3 principes actifs la lidocaĂŻne, la prilocaĂŻne et la benzocaĂŻne. Chacun d’eux joue un rĂŽle prĂ©cis qui permet Ă  la crĂšme anesthĂ©siante d’insensibiliser si bien la peau que la douleur ne devienne qu’un lointain souvenir pour ses utilisateurs. La prilocaĂŻne est un anesthĂ©sique local gĂ©nĂ©ralement utilisĂ© en association avec la lidocaĂŻne. Son mĂ©canisme d’action est similaire Ă  celui de la lidocaĂŻne. La benzocaĂŻne est utilisĂ©e originellement en mĂ©decine comme anesthĂ©sique local d’usage externe mais Ă©galement pour lutter contre la douleur dans les maux de gorge, dĂ©mangeaisons, douleurs dentaires. C’est une molĂ©cule tirĂ©e de l’acide para amino-benzoĂŻque et utilisĂ©e dans plus de 600 prĂ©parations de produits largement utilisĂ©s par le grand public. Elle permettrait de bloquer la conduction des influx nerveux en agissant, de façon transitoire et sĂ©lective sur les voies nerveuses sensitives, sensorielles, sympathiques, parasympathiques et motrices. Dans son mode d’action elle agit sans modifier l’état de conscience. Lors de son lancement en France en 2011, la crĂšme anesthĂ©siante Dr Numb est disponible sans ordonnance. Selon les utilisateurs, la crĂšme anesthĂ©siante Dr. Numb n’affecte pas l’encre ni l’élasticitĂ© de la peau ; elle facilite donc le travail de tatouage ; de ce fait elle attĂ©nue considĂ©rablement les sensations douloureuses pour l’ensemble des Ă©tapes du tatouage ou Ă©pilation injections, tatouages, piercings, dĂ©tatouage au laser, Ă©pilation au laser, Ă©pilation Ă  la cire. CrĂšme anesthĂ©siante Anesderm La crĂšme anesthĂ©siante anesderm est composĂ©e de comprilocaĂŻne et lidocaĂŻne. Elle est destinĂ©e Ă  insensibiliser la zone cutanĂ©e par voie locale de la peau saine, avant des interventions mĂ©dicales comme les ponctions veineuses ou sous-cutanĂ©es ou avant des actes de chirurgie cutanĂ©e superficielle, instrumentale ou par rayon laser.

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Àvoir sur BAnQ numĂ©rique : Technologies langagiĂšres et apprentissage des langues : actes du Colloque Les Nouvelles technologies et le traitement automatique des langues au coeur des dispositifs d'apprentissage, prĂ©sentĂ© dans le cadre du 72e CongrĂšs de l'Acfas, Ă  l'UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al, les 11 et 12 mai 2004 / info dans groupe Glossaire info articles lies mot La sensibilitĂ© Ă  la pression est dĂ©clenchĂ©e par des appuis importants sur la surface cutanĂ©e et est transmise par l’intermĂ©diaire des disques de Merkel superficiels et des corpuscules de Ruffini profonds qui sont des rĂ©cepteurs de pression Ă  adaptation lente, qui codent l’intensitĂ© de la pression en codant l’intensitĂ© de la stimulation par la frĂ©quence de leur potentiel d’action. Ils sont actifs dĂšs le dĂ©but de la pression exercĂ©e sur le revĂȘtement cutanĂ© et ne cessent de l’ĂȘtre qu’à la fin de celle-ci. Ils codent donc l’intensitĂ© et la durĂ©e de la pression. Les disques de Merkel sont des rĂ©cepteurs superficiels situĂ©s Ă  la base de l’épiderme . Un disque de Merkel est composĂ© de la terminaison en forme de disque d’une ramification d’une fibre myĂ©linisĂ©e qui est apposĂ©e Ă  une cellule de Merkel avec laquelle elle Ă©tablit des contacts synaptiques. Les zones riches en disques de Merkel peuvent former des dĂŽmes tactiles. Ils rĂ©pondent Ă  des pressions localisĂ©es enfoncement de la peau et la rĂ©ponse au stimulus est phasico-tonique Ă  adaptation lente. Ils peuvent ainsi coder la position et la vitesse du stimulus, soit l’indentation de la peau. Les corpuscules de Ruffini d’allure fuselĂ©e sont situĂ©s dans le derme . Dans un corpuscule de Ruffini la terminaison axonale est entourĂ©e d’une capsule fibroblastique, perd sa myĂ©line et se ramifie abondamment. Des fibres de collagĂšne traversent la capsule et ancrent mĂ©caniquement le corpuscule au derme. En plus de la pression, ils dĂ©tectent la pression l’intensitĂ© et la direction des Ă©tirements de la peau et informent le systĂšme nerveux central sur les forces et les directions des cisaillements cutanĂ©s accompagnant un mouvement articulaire. Articles Le systĂšme nerveux cutanĂ© jeudi 26 novembre 2015 par Michel DĂ©marchez Mots-clĂ©s dans le mĂȘme groupe Autres groupes de mots-clĂ©s Navigation

Sonétendue dépend principalement de la force du choc et de la vascularisation de la région touchée. En rÚgle générale, l'ecchymose est de petite taille. L'hématome sous-cutané fait saillie sous la peau, il est bleu foncé puis il vire au vert et jaune avant de régresser beaucoup plus lentement qu'une ecchymose.

BeautĂ© Avoir une peau radieuse est une quĂȘte incessante dont on s’acquitte du mieux qu’on peut. Il est tellement facile de se perdre dans le dĂ©dale des conseils et des produits commercialisĂ©s ! En connaissant Ă  la base son type de peau, on garde le cap sur les soins et les gestes adaptĂ©s. Photo Est-ce que notre épiderme est sec ou plutôt gras ? Peut-être est-il mixte ? Comment s’y retrouver ? Il existe différentes façons d’identifier les types de peaux. Les dermatologues utilisent l’échelle de Fitzpatrick, qui établit le classement en fonction des caractéristiques de pigmentation et de la capacité à bronzer. Les catégories phototypes sont chiffrées de I carnation très pâle, qui brûle toujours à VI peau très foncée, qui bronze très aisément et ne brĂ»le jamais. Les spĂ©cialistes se rĂ©fĂšrent Ă  ces barèmes afin de déterminer si le patient risque de développer un cancer de la peau », explique la Dre Émilie Bourgeault, dermatologue et cofondatrice de une clinique de dermatologie en ligne. Les entreprises de cosmétiques font usage d’un autre système, qui répertorie les types de peaux en quatre grandes familles normale, sèche, grasse et mixte à la fois sèche et grasse. C’est l’entrepreneure visionnaire Helena Rubinstein, fondatrice de la marque de beauté éponyme, qui a inventé cette classification en 1910, établissant que chaque type de peau a des besoins spécifiques de soins. Les consommatrices sont plus familières avec cette nomenclature. Mais dans quelle catégorie peut-on mettre les peaux sensibles ? Il ne s’agit pas d’un type, mais plutôt d’un état de peau. Un état peut être causé par des stimuli externes ou internes, ou une défaillance du système immunitaire », précise William Gauthier, formateur régional des laboratoires Pierre Fabre. Tous peuvent en être affectés au cours de leur vie. Ainsi, une personne à la peau normale peut vivre des périodes de sensibilitĂ© cutanĂ©e exacerbĂ©e. Il faut également bien distinguer la peau sèche, identifiée comme un type, et la peau déshydratée, qui est un état. La première tiraille depuis des années. Elle démange et affiche une rugosité et des desquamations. La peau ne produit pas assez de lipides [corps gras], entre autres de céramides. Et cela fragilise la barrière cutanée », souligne Nathalie Pelletier, directrice, recherche et développement, affaires scientifiques chez Jouviance, une marque québécoise. Une peau déshydratée, quant à elle, souffre d’une carence en eau. Elle est inconfortable à l’occasion, surtout après le nettoyage, et cela peut durer quelques jours, voire des semaines, selon les saisons. Elle peut présenter de la brillance sur la zone T [l’axe front, nez et menton] », dit l’experte. Il n’est pas inhabituel que la peau soit à la fois sèche et déshydratée. Photo Getty Images/Peter Finch Identité cutanée Comment qualifier son type de peau ? On peut procéder par autodiagnostic avec la technique du papier de soie, qui agit comme un buvard. Après avoir nettoyé le visage avec un produit doux au pH neutre, attendre 30 minutes – le temps que la peau retrouve son équilibre. Appliquer une bande de papier sur la partie médiane, du front au menton, et une autre sur une joue. On appuie sur les bandes sans frotter pendant deux minutes, puis on retire. Les deux papiers sont tachés ? La peau est grasse. Seule la bande médiane est humidifiée ? On a affaire à un type mixte. Peu de résidus ? Peau normale. Papier intact ? C’est un cas de sécheresse. Des instituts de beauté disposent de technologies de diagnostic numérique qui mesurent avec précision le taux d’hydratation, la sensibilité, etc. à l’aide d’imagerie cutanée. Des conseillères et des esthéticiennes peuvent nous aider à déterminer notre type de peau. Enfin, des applications telles que TroveSkin ou Skin360 permettent, grâce à un égoportrait, d’évaluer les signes d’imperfections pores dilatés, boutons, excès de sébum
. Les algorithmes tiennent en compte l’activité physique, la qualité du sommeil, les cosmétiques utilisés, pour ensuite dresser un bilan et proposer une routine beauté adaptée. Peau sĂšche Comment la reconnaître Rugueuse au toucher, sillonnée de ridules, elle peut présenter des squames en cas d’extrême sécheresse. Elle souffre d’une sensation constante de tiraillement et elle manque d’éclat. J’ajouterais une autre caractéristique des pores très fins, cela étant dû à la faible production de sébum », souligne William Gauthier. Causes Prédispositions génétiques, vieillissement cutané, changements hormonaux ménopause, soleil, froid, vent, contact prolongé et répété avec l’eau
 La barrière naturelle de l’épiderme film hydrolipidique est altérée par une carence en lipides. Elle ne peut plus préserver son hydratation optimale et devient plus vulnérable aux facteurs asséchants », dit Nathalie Pelletier. Bonnes stratégies Nettoyage L’eau du robinet, souvent trop calcaire, est l’ennemie jurée de la peau sèche. Un lait sans rinçage, une huile démaquillante, une eau micellaire vont dissoudre la saleté tout en douceur. Il faut rechercher un nettoyant composé d’agents hydratants et apaisants, tels que des extraits de graines de lin, de l’aloès, de l’huile d’avocat ou de graines de tournesol, selon Nathalie Pelletier. Hydratation Rien ne sert d’étouffer la peau sous une épaisse couche ultragrasse si le produit ne contient pas ce qu’il faut pour relancer la production naturelle de nos propres lipides », prévient William Gauthier. Les cires et les huiles végétales permettent de nourrir, de renforcer et de reconstruire la barrière cutanée. Fait à souligner le beurre de karité a des propriétés régénérantes hors du commun. L’huile d’amande, de noix de coco, de chanvre, le squalane, le jojoba et la lanoline agissent aussi comme corps gras pour favoriser la rétention d’eau », signale le Dr Steve Mathieu, dermatologue et chef du Service de dermatologie au CHU de Québec. On n’hésite pas à chouchouter l’épiderme avec des crèmes et des sérums à base d’acide hyaluronique le super hydratant qui retient 1 000 fois son poids en eau, de céramides, de glycérine, toujours non comédogènes, comme le suggère Rocio Rivera, vice-présidente, communications scientifiques, chez L’Oréal Paris. Exfoliation On doit y aller avec précaution avec cette grande fragile. Pas plus que deux fois/semaine une seule pendant l’hiver. Un exfoliant chimique aux acides hydroxylés glycolique, salicylique ou lactique combinés à des agents hydratants ex beurre de karité et apaisants ex allantoïne, une molécule aux vertus cicatrisantes sera bien toléré. Masques Formules hydratantes et apaisantes pour améliorer le confort cutané. Peau normale Comment la reconnaître Veloutée, pulpeuse et élastique. Teint uniforme et lumineux. Les pores sont peu visibles. Bonnes stratégies Nettoyage Gel, mousse, huile, lait tout est permis. Si le produit n’est pas adapté, la peau enverra des signaux d’alarme – inconfort, rougeurs, imperfections. Nathalie Pelletier prône des formules douces avec un pH physiologique proche de celui de la peau. Hydratation Protéger l’hydratation avec de l’acide hyaluronique fait partie des mantras beauté, quel que soit le type de peau. Il faut aussi se discipliner à entretenir le capital jeunesse. William Gauthier préconise des formules qui stimulent la production de collagène la protéine qui maintient l’élasticité de la peau et qui respectent le microbiome cutané. Mon plus précieux conseil appliquer un soin solaire tous les jours, même si on reste à l’intérieur de la maison. C’est le meilleur antirides préventif qui existe », ajoute-t-il. Exfoliation Une à deux fois/semaine. En plus d’illuminer le teint, ce geste favorise la régénérescence cellulaire et a une action anti-âge. Ingrédient peau sublime Le rétinol ou vitamine A contribue à embellir la peau. La molécule portée aux nues par les scientifiques multiple les effets bénéfiques sur les rides, la fermeté, l’éclat, les pores et la prévention des imperfections. Réputé irritant, il a été reformulé en d’autres formes d’acide rétinoïque, mieux tolérées. Des soins utilisent la technique de l’encapsulation, qui relâche peu à peu le rétinol dans l’épiderme, limitant ainsi les réactions. Pour les peaux intolérantes, il existe le bakuchiol, un actif botanique qui offre les avantages anti-âge des rétinoïdes. Peau grasse Comment la reconnaître Grain irrégulier, aspect huileux, pores dilatés, comédons et boutons. Elle est plus épaisse que les autres types de peaux. Deux privilèges la surproduction de sébum la préserve du dessèchement
 et les rides s’y installent plus tardivement ! Causes Hérédité, hormones capricieuses, stress, pollution
 Aussi, de mauvaises habitudes comme le nettoyage exagéré du visage et l’usage répété d’exfoliants irritants et de produits comédogènes, selon le Dr Mathieu. Bonnes stratégies Nettoyage Il faut agir en douceur, pas plus de deux fois par jour, sinon la machine s’emballe. Un nettoyant à l’acide salicylique libère les pores obstrués par un excès de sébum et de cellules mortes », dit Nathalie Pelletier. On peut aussi faire appel à un produit sans savon et exempt d’éthanol un alcool desséchant, présent dans certains soins pour peaux grasses. Hydratation On ne doit jamais sauter cette étape, met en garde William Gauthier. Ce type de peau exige une bonne hydratation. Elle s’irrite facilement, dès qu’elle subit des agressions », précise-t-il. Le choix est vaste pour subvenir à ses besoins sans la huiler davantage crèmes légères non grasses, soins à base d’eau, formules matifiantes qui absorbent le sébum. Côté ingrédients, on recommande l’acide salicylique et des agents anti-inflammatoires ex. niacinamide, camomille ou allantoïne pour apaiser la peau quand elle est en proie à une poussée de boutons. Un sérum au rétinol resserrera les pores attention toujours utiliser le soir et appliquer une crème solaire haute protection le lendemain matin. Évidemment, un soin à l’acide hyaluronique sera plus que bienvenu pour voler au secours de cette peau souvent déshydratée. Exfoliation Un exfoliant chimique dissoudra en douceur les cellules mortes sans besoin de frictionner. Cela évitera de stimuler la production de sébum. Masques Des formules à base d’argile blanche ou verte, enrichies d’acide salicylique, ont une action astringente, apaisante, séborégulatrice et antibactérienne, en plus de désobstruer les pores. Huiles Certaines huiles végétales ont des effets bénéfiques sur les peaux grasses – aussi étonnant que cela puisse paraître – grâce à leurs vertus anti-inflammatoires et antibactériennes
 mais à condition d’être non occlusives. Parmi les incontournables pépins de raisin, marula, jojoba et noisette. Peau mixte Comment la reconnaître Deux situations cutanées se côtoient excès de sébum, pores dilatés et points noirs sur la fameuse zone T et épiderme normal ou déshydraté sur le reste du visage. C’est le type de peau le plus répandu et le plus complexe. Causes Voir peau sèche et peau grasse. Bonnes stratégies Nettoyage Un nettoyant doux sans parfum, sous forme de gel ou de lait, peut gérer les deux zones, selon le Dr Steve Mathieu. Hydratation Cette étape est un peu plus délicate. On peut appliquer un soin pour peau sèche le matin, et un pour peau grasse le soir. William Gauthier révèle son truc pour contourner la difficulté répondre aux besoins de chaque zone en étalant des produits ciblés l’hydratant matifiant sur la surface médiane et celui pour peau sèche sur le reste du visage. Des actifs à rechercher pour travailler l’éclat la vitamine C et la vitamine B3 ou niacinamide, la star montante des soins cutanés. Exfoliation Soin exfoliant enzymatique à base d’AHA. Masques Tout comme dans le cas des hydratants, il est quasi impossible de trouver le masque idéal pour ce type de peau. La technique du multimasking multimasque permet de traiter chaque section du visage selon ses exigences un soin purifiant sur la zone T et un autre pour hydrater le reste. Petit extra Le nez continue de briller ? On garde à portée de main des lingettes matifiantes, qui absorbent l’excédent de sébum. Peau Ă  tendance acnĂ©ique Comment la reconnaître L’acné adulte ou tardive se manifeste surtout dans le bas du visage. Des boutons blancs pustules ou rouges papules apparaissent sur le menton, les mâchoires et le décolleté. C’est une affection cutanée douloureuse qui laisse des cicatrices, car plus on gagne en âge, moins la peau se renouvelle rapidement », souligne William Gauthier. Causes Hérédité, médication anovulants, antidépresseurs, stress, fluctuations hormonales menstruations, grossesse, ménopause, insomnie
 et plus récemment, port du masque voir l’encadré Mascné – La peau en crise ». Un adulte sur quatre est touché. Bonnes stratégies Nettoyage On suggère le plus souvent des pains dermatologiques ou des gels doux enrichis d’acide salicylique qui exfolient en douceur. Lors des ablutions, opter pour l’eau tiède. Pour finir en beauté ? Rocio Rivera recommande une lotion tonique à l’acide glycolique – elle éclaircit le teint. Hydratation Étape cruciale ! Pour prévenir sécheresse et irritations, on ne lésine pas, avec une formule bourrée de céramides. Avant d’aller au lit une crème de nuit légère à l’acide salicylique. Exfoliation Une fois/semaine. Les acides AHA et BHA sont d’excellents exfoliants, estime Nathalie Pelletier. L’acide salicylique limite l’excès de sébum, désincruste les pores et neutralise les bactéries responsables de l’acné. En plus, il a des vertus anti-inflammatoires. L’acide glycolique est un très bon allié pour faire peau neuve », dit Rocio Rivera. Masques Voir peau grasse. Deux mots à retenir apaiser et hydrater. Éviter d’assécher, car la peau va compenser en produisant plus de sébum
 et s’ensuivra la cascade d’enfer, juge Rocio Rivera. Vade retro, bouton Des ingrédients amis pour les cas d’acné légers à modérés le peroxyde de benzoyle bactéricide et anti-inflammatoire, la vitamine B3 pour diminuer le feu des boutons et cicatriser les lésions, l’huile d’arbre à thé antibactérienne et antiseptique, elle calme la douleur des éruptions, les rétinoïdes dérivés de la vitamine A qui réduisent l’obstruction des pores, le soufre pour nettoyer les pores et réguler la production de sébum. Les adeptes de produits naturels peuvent se tourner vers des huiles végétales neem, noisette, thé vert ou blanc et tamanu. Mascné La peau en crise Contraction de masque et d’acné, la mascné est une affection qui s’est développée de façon exponentielle depuis la pandémie. La friction du masque sur le visage augmente l’hyperkératose folliculaire [surproduction de kératine qui se manifeste par de petites bosses dures dans les follicules pileux]. Ajoutons à cela l’humidité causée par la respiration et les bactéries de la bouche. C’est une combinaison de facteurs qui contribuent au développement des boutons », explique la Dre Émilie Bourgeault. Les mesures à prendre changer de masque toutes les quatre heures pour éliminer l’humidité et la contamination bactérienne, et hydrater la peau pour protéger la barrière cutanée. Gellavant pour bĂ©bĂ© Eco by Naty. L'huile pour le bain de bĂ©bĂ© Mustela. Le shampooing doux pour bĂ©bĂ© de Mustela. Lait corporel hydratant pour bĂ©bĂ© de Weleda. Talc de toilette de BĂ©bĂ© Cadum. Mouche bĂ©bĂ© BĂ©aba. Eau de senteur Eau My BB. La trousse de premiers soin pour bĂ©bĂ© Philips Avent. ThermomĂštre pour bĂ©bĂ© SMVUU.
ï»żAccueil ‱Ajouter une dĂ©finition ‱Dictionnaire ‱CODYCROSS ‱Contact ‱Anagramme Classement selon la sensibilitĂ© de la peau — Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies.
Brucellaest l’agent responsable de la brucellose, maladie infectieuse et contagieuse chez l’animal, transmissible Ă  l’homme et de rĂ©partition mondiale. Brucella est un coccobacille Ă  Gram nĂ©gatif intracellulaire facultatif, de 0,5 Ă  0,7 ”m de diamĂštre et 0,5 Ă  1,5 Brucella melitensis”m de longueur. Les cellules sont immobiles et ne forment ni flagelle
Objectifs pĂ©dagogiques ConnaĂźtre les diffĂ©rents types de LAP ConnaĂźtre les critĂšres de gravitĂ© ConnaĂźtre les principales stratĂ©gies thĂ©rapeutiques mĂ©dico-chirurgicales et leurs indications ConnaĂźtre la place des traitements immunosuppresseurs et les biothĂ©rapies ConnaĂźtre la place des traitements obturateurs et des cellules souches Testez-vousNous vous invitons Ă  tester vos connaissances sur l’ensemble des QCU tirĂ©s des exposĂ©s des diffĂ©rents POST'U. Les textes, diaporamas ainsi que les rĂ©ponses aux QCM seront mis en ligne Ă  l’issue des prochaines journĂ©es vos connaissances sur le sujet. Les 5 points forts Les lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn ont une incidence Ă©levĂ©e et sont de mauvais pronostic elles se compliquent et laissent des sĂ©quelles fonctionnelles. L’exploration par IRM pelvi-pĂ©rinĂ©ale est nĂ©cessaire suppuration et non suffisante lĂ©sions non fistuleuses au bilan anatomique des lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales. L’évaluation des lĂ©sions doit combiner examen proctologique et IRM. Le traitement des abcĂšs est chirurgical le recours exclusif aux antibiotiques n’est pas suffisant. Les anti TNF alpha permettent de tarir les suppurations mais la cicatrisation n’est effective qu’une fois sur trois. Les techniques chirurgicales d’épargne sphinctĂ©rienne ont encore besoin de progresser. Conflits d’intĂ©rĂȘt Takeda, MSD, Ferring, AbbVie Mots-clĂ©s maladie de Crohn, fistules anales, anti TNF alpha DĂ©finitions et position du problĂšme On appelle lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn, l’ensemble des lĂ©sions attribuĂ©es Ă  la maladie de Crohn qui touchent le canal anal, la peau du pĂ©rinĂ©e, le bas-rectum et la cloison recto-vaginale. Les principales lĂ©sions Ă©lĂ©mentaires sont reprĂ©sentĂ©es par les ulcĂ©rations, les suppurations et les stĂ©noses. La notion de lĂ©sion primaire correspond au processus contemporain d’une poussĂ©e aiguĂ« de la maladie de Crohn elles sont principalement reprĂ©sentĂ©es par les ulcĂ©rations. Les suppurations et les stĂ©noses sont souvent considĂ©rĂ©es comme la consĂ©quence des lĂ©sions primaires on parle de lĂ©sions secondaires. La nature crohnienne des lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales est souvent Ă©voquĂ©e devant un processus trĂšs inflammatoire, un Ă©paississement de la peau pĂ©ri-anale, des marisques ƓdĂ©mateuses, des lĂ©sions multiples, des lĂ©sions qui s’étendent au-dessus de la ligne pectinĂ©e Figure 1. Les fistules prennent classiquement naissance au sein d’une ulcĂ©ration ou dans une cicatrice plutĂŽt qu’au niveau des cryptes du canal anal. Les lĂ©sions Ă©lĂ©mentaires de la maladie de Crohn sont rarement isolĂ©es et elles sont le plus souvent observĂ©es en association. La prĂ©sence d’une stĂ©nose du canal anal ou du rectum est trĂšs souvent associĂ©e Ă  un processus inflammatoire et suppuratif [1]. Les ulcĂ©rations anales sont compliquĂ©es d’une suppuration dans la moitiĂ© des cas [2]. Figure 1. LĂ©sions primaires anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn. Les ulcĂ©rations sont multiples et ne ressemblent en rien dans leur aspect ou leur topographie Ă  une fissure anale. Les bords sont dĂ©collĂ©s, oedĂ©mateux et la composante inflammatoire est majeure. Notez, sur la photographie de droite, le fond de l’ulcĂ©ration qui met Ă  nu un sphincter anal interne partiellement lĂ©sĂ© par le processus. Les Ă©tudes en population prĂ©cisent l’incidence des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn de façon plus fidĂšle que les Ă©tudes de centres de recours ou les Ă©tudes collaboratives [3, 4]. L’incidence des suppurations anales concerne plus de 21 % des malades souffrant d’une maladie de Crohn aprĂšs 15 ans d’évolution. L’incidence des lĂ©sions non fistuleuses est de 20 % pour les ulcĂ©rations et de 5 % pour les stĂ©noses. Finalement, c’est plus d’un malade sur trois qui aura une atteinte anale, 15 ans aprĂšs le dĂ©but de la maladie de Crohn. Les malades prĂ©sentant une lĂ©sion primaire de type d’ulcĂ©ration ont un risque de deux fois supĂ©rieur de dĂ©velopper une suppuration anale. Les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn cicatrisent lentement. Les ulcĂ©rations anales ne sont durablement cicatrisĂ©es que dans 40 % des cas, aprĂšs un an de suivi [5]. Les suppurations anales complexes imposent souvent un ou plusieurs gestes de drainage et la durĂ©e de prise en charge excĂšde souvent plus d’un an. Les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn constituent un processus inflammatoire chronique et exposent Ă  un risque propre de dysplasie et de cancer du canal anal, du rectum ou dans le trajet de la suppuration chronique. Elles imposent une vigilance particuliĂšre notamment dans le cas des stĂ©noses anorectales et justifient la rĂ©alisation de biopsies. Contrairement Ă  une opinion rĂ©pandue, les lĂ©sions proctologiques de la maladie de Crohn sont souvent symptomatiques et handicapantes. Les symptĂŽmes associĂ©s aux lĂ©sions anales de la maladie de Crohn sont principalement reprĂ©sentĂ©s par des douleurs en rapport avec une suppuration sous tension ou un syndrome fissuraire. Il existe frĂ©quemment des phĂ©nomĂšnes de suintement et d’émission de pus, parfois un syndrome rectal, des difficultĂ©s d’évacuation ou des troubles de la continence fĂ©cale. Les manifestations douloureuses permanentes doivent toujours faire craindre une suppuration profonde sous tension. Les difficultĂ©s d’évacuation peuvent ĂȘtre le tĂ©moin d’une stĂ©nose du canal anal ou du bas-rectum. Les troubles de la continence fĂ©cale peuvent ĂȘtre en rapport avec des sĂ©quelles de lĂ©sion sphinctĂ©rienne, mais elles peuvent ĂȘtre Ă©galement liĂ©es Ă  un processus inflammatoire de la paroi rectale ou Ă  une fistule rectovaginale. En conclusion, la prĂ©valence Ă©levĂ©e des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn incite Ă  rechercher systĂ©matiquement des symptĂŽmes proctologiques lors des consultations de suivi. L’examen proctologique doit ĂȘtre systĂ©matique. La prĂ©sence de lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn grĂšve le pronostic de la maladie. La constatation d’une ulcĂ©ration anale est le tĂ©moin d’une Ă©volutivitĂ© de la maladie de Crohn [2]. Plusieurs Ă©tudes de cohortes soulignent que la prĂ©sence de lĂ©sions anales inaugurales de la maladie de Crohn reprĂ©sente un facteur indĂ©pendant de complications ultĂ©rieures de la maladie de Crohn dans son ensemble [6]. La moitiĂ© des gestes chirurgicaux, effectuĂ©s dans le cadre de la prise en charge thĂ©rapeutique de la maladie de Crohn, concerne des gestes proctologiques[7]. La prĂ©sence de lĂ©sions anales de la maladie de Crohn peut Ă©galement provoquer des dĂ©labrements sphinctĂ©riens importants et irrĂ©versibles le sphincter anal interne est souvent lĂ©sĂ© en cas d’ulcĂ©ration profonde du canal anal ou en cas de suppuration. Le sphincter anal externe peut ĂȘtre lĂ©sĂ© en cas de suppuration ou en cas de chirurgies de drainage itĂ©ratives. Les stratĂ©gies ultĂ©rieures de rĂ©paration sphinctĂ©rienne sont inopĂ©rantes sphincter anal interne ou non Ă©valuĂ©es dans cette indication sphincter anal externe. Cette gravitĂ© anatomique particuliĂšre influence Ă  la fois les symptĂŽmes fonctionnels, la qualitĂ© de vie et les stratĂ©gies de prise en charge thĂ©rapeutique. Les troubles de la continence fĂ©cale sont reportĂ©s avec une prĂ©valence trĂšs Ă©levĂ©e dans certaines Ă©tudes de cohortes de centres tertiaires les trois quarts des patients ressentent des phĂ©nomĂšnes d’incontinence, et, pour la moitiĂ© d’entre eux des accidents rĂ©guliers ou frĂ©quents [8]. La qualitĂ© de vie peut ĂȘtre altĂ©rĂ©e par ces troubles fonctionnels sĂ©quellaires, mais Ă©galement par les phĂ©nomĂšnes de suintement et la prĂ©sence de drains pendant plusieurs mois aprĂšs les interventions chirurgicales [9]. MĂȘme lorsque les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn sont prises en charge, les patientes retardent souvent l’échĂ©ance de leur premiĂšre grossesse de plusieurs annĂ©es comparativement Ă  celles qui n’ont pas de lĂ©sion anale [10]. La sĂ©vĂ©ritĂ© des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn est corrĂ©lĂ©e Ă  la taille des lĂ©sions et Ă  leur retentissement anatomique. Plusieurs classifications sont proposĂ©es pour quantifier cette gravitĂ©. La classification la plus courante est celle de Cardiff ou classification UFS qui offre l’avantage de prendre en considĂ©ration l’ensemble des lĂ©sions anales de la maladie en trois rubriques classiques ulcĂ©ration, fistules et abcĂšs, stĂ©nose Tableau I [11]. Les recommandations amĂ©ricaines proposent une autre classification des fistules, en sĂ©parant schĂ©matiquement les fistules simples superficielles, intersphinctĂ©riennes, transsphinctĂ©riennes basses et les fistules complexes intersphinctĂ©riennes hautes, transsphinctĂ©riennes hautes, extra sphinctĂ©riennes, suprassphinctĂ©riennes, recto-vaginales, Ă  trajets multiples [12]. Ces classifications sont proches mais la classification de Cardiff est facile Ă  mĂ©moriser et Ă  utiliser en pratique courante, dans sa version simplifiĂ©e. Dans les essais thĂ©rapeutiques ou les Ă©tudes de cohortes, une classification anatomo-fonctionnelle simple est utilisĂ©e pour quantifier la sĂ©vĂ©ritĂ© des lĂ©sions anales Tableau II. Elle est facilement Ă©valuable en pratique clinique elle recueille deux donnĂ©es symptomatiques, deux donnĂ©es d’examen clinique et une donnĂ©e de retentissement personnel des troubles. Elle permet une quantification globale sous forme d’un score et elle est facile Ă  mĂ©moriser [13]. L’évaluation clinique de la gravitĂ© des lĂ©sions anales se heurte malheureusement Ă  deux Ă©cueils importants qui sont une concordance inter observateur parfois insuffisante en fonction du type de lĂ©sion d’une part, un manque de sensibilitĂ© pour le diagnostic et l’évaluation des suppurations d’autre part. En effet, l’évaluation et la description des lĂ©sions sont trĂšs variables lorsqu’elles sont apprĂ©ciĂ©es par des praticiens diffĂ©rents et de façon indĂ©pendante. Il existe un relatif consensus pour qualifier le caractĂšre inflammatoire d’un orifice externe, mais pas pour la qualitĂ© du drainage ou le caractĂšre complexe ou non de la fistule. L’évaluation de la sĂ©vĂ©ritĂ© d’une ulcĂ©ration anale ne bĂ©nĂ©ficie pas d’une bonne concordance inter observateur [14]. Tableau I. Classification anatomique Ă©lĂ©mentaire des lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn dite de Cardiff [11]. En pratique courante, le classement des lĂ©sions peut se rĂ©sumer Ă  un acronyme UFS en adjoignant une valeur numĂ©rique Ă  chaque lettre en fonction de la sĂ©vĂ©ritĂ© de la lĂ©sion de 0 Ă  2. Écoulement de pus ou de matiĂšre par l’orifice 0 – Aucun 1 – Minime Ă©coulement de pus 2 – Écoulement modĂ©rĂ© de pus 3 – Important Ă©coulement de pus 4 – Écoulement de matiĂšres SensibilitĂ© et douleurs 0 – Aucune perception 1 – Inconfort minime 2 – Inconfort modĂ©rĂ© 3 – Inconfort important 4 – Douleur importante Retentissement sur la sexualitĂ© 0 – Aucune restriction 1 – Minime 2 – Moyenne 3 – Importante 4 – Inenvisageable Nature des lĂ©sions 0 – Aucune ou marisque 1 – Fissure 2 – Moins de 3 fistules 3 – Trois fistules et plus 4 – UlcĂ©ration avec dĂ©collement Induration palpatoire lors de l’examen clinique 0 – Aucune 1 – Minime 2 – ModĂ©rĂ©e 3 – Importante 4 – AbcĂšs Tableau II. Principaux items symptomatiques et anatomiques recueillis lors de l’entretien et l’examen clinique d’une personne ayant des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn. Chaque item est associĂ© Ă  une valeur de pondĂ©ration numĂ©rique. L’analyse de l’ensemble des items permet d’obtenir un score global de sĂ©vĂ©ritĂ© qui peut varier entre 0 et 20 score PDAI pour Perineal Disease Activity Index. AdaptĂ© de Irvine [13] Lorsqu’on compare les donnĂ©es de l’examen clinique Ă  celle de l’IRM en utilisant la mĂȘme classification, il apparaĂźt que la concordance entre les donnĂ©es cliniques et radiologiques n’est correcte que dans 58 % des cas pour Ă©valuer la gravitĂ© des fistules [15]. L’examen clinique sous-estime les fistules complexes dans un quart des cas et elle surestime les fistules simples dans trois quarts des cas Tableau III. Dans le cas particulier des suppurations anales, l’ est incontournable parce qu’elle permet d’apprĂ©cier la gravitĂ© des lĂ©sions avec une meilleure sensibilitĂ© que l’examen clinique. Elle repose sur une description prĂ©cise des lĂ©sions et de leur topographie. Elle permet Ă©galement la dĂ©termination d’un score d’activitĂ© qui a un intĂ©rĂȘt pronostique, Ă  la fois dans la prise en charge immĂ©diate, et dans l’évolution Ă  distance de la suppuration Tableau IV [16]. Il est important pour le clinicien qui prend en charge les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn de disposer d’un examen radiologique de qualitĂ© avec des sĂ©quences pondĂ©rĂ©es T2 pour la recherche des collections Figure 2. Cependant, les sĂ©quences pondĂ©rĂ©es T1 bĂ©nĂ©ficient d’une meilleure rĂ©solution anatomique et elles permettent d’évaluer de façon sensible le niveau inflammatoire de la suppuration Tableau V. A l’inverse, la sensibilitĂ© diagnostique de l’IRM est trĂšs insuffisante au diagnostic des ulcĂ©rations anales souvent identifiĂ©es comme des fistules intersphinctĂ©riennes et des stĂ©noses [15]. Tableau III. Analyse comparative du classement de sĂ©vĂ©ritĂ© des fistules anales de Crohn selon qu’il soit rĂ©alisĂ© par un simple examen clinique ou lors d’une exploration IRM. Bien qu’utilisant le mĂȘme outil de classification Cardiff, la concordance n’est observĂ©e que dans un peu plus de la moitiĂ© des cas adaptĂ© de Garros et al. [15] Nombre de trajets 0 – Aucun 1 – Simple direct 2 – Simple ramifiĂ© 3 – Multiple Localisation du trajet principal de la suppuration 1 – IntersphinctĂ©rien 2 – TranssphinctĂ©rien 3 – Supra sphinctĂ©rien Extension maximale de la suppuration en profondeur 1 – Sous lĂ©vatorienne 2 – Supra lĂ©vatorienne Hyper signal du trajet fistuleux en sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T2 0 – Absent 4 – ModĂ©rĂ© 8 – ÉlevĂ© Collection de plus de 3 mm 0 – Absente 4 – PrĂ©sente Epaisseur de la paroi rectale 0 – Non 2 – Oui Tableau IV. Principaux items recueillis lors de l’analyse IRM d’une suppuration anale de Crohn. Chaque item est associĂ© Ă  une valeur de pondĂ©ration numĂ©rique. L’analyse de l’ensemble des items permet d’obtenir un score global de sĂ©vĂ©ritĂ© qui peut varier entre 0 et 22. Le recueil de ces informations et le calcul du score est aujourd’hui recommandĂ© par la sociĂ©tĂ© française de radiologie lors de l’édition de tout compte rendu. AdaptĂ© de Van Assche et al. [16] Figure 2. Comparaison de deux sĂ©quences pondĂ©rĂ©es T2 d’une suppuration anale haute et complexe sous lĂ©vatorienne avec rĂ©action inflammatoire supra lĂ©vatorienne celle de gauche avant saturation de la graisse, celle de droite aprĂšs saturation de la graisse Fat Sat. Le plan des muscles releveurs est matĂ©rialisĂ© par un aspect arciforme de part et d’autre l’axe du canal anal. En sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T2 Les liquides sont blancs et la graisse aussi sauf aprĂšs retraitement numĂ©rique des images dite Fat Sat » saturation de la graisse. L’injection de gadolinium n’apporte pas beaucoup Ă  l’interprĂ©tation. Cette sĂ©quence a une grande sensibilitĂ© pour le diagnostic de collections. En sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T1 Les liquides sont noirs. L’injection de Gadolinium constitue un bĂ©nĂ©fice d’interprĂ©tation majeur. Cette sĂ©quence est trĂšs spĂ©cifique et la qualitĂ© anatomique de l’analyse est excellente. L’activitĂ© des lĂ©sions peut ĂȘtre prĂ©cisĂ©e niveau inflammatoire, fibrose jeune. Tableau V. Lorsqu’on analyse les images IRM, l’utilisation comparĂ©e des sĂ©quences pondĂ©rĂ©es permet une interprĂ©tation fine notamment dans le diagnostic des collections sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T2 et de l’importance du processus inflammatoire et des rapports sphinctĂ©riens sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T1. En conclusion, la sĂ©vĂ©ritĂ© habituelle des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn doit ĂȘtre prise en considĂ©ration mĂȘme lorsque la symptomatologie ne domine pas l’expression de la maladie de Crohn. Le seul examen par IRM ne suffit pas Ă  Ă©valuer correctement les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn. L’évaluation des lĂ©sions doit reposer Ă  la fois sur les donnĂ©es d’un bon examen clinique ulcĂ©rations, stĂ©noses, fistule rectovaginale mais Ă©galement sur celles de l’IRM sĂ©vĂ©ritĂ© et extension de la suppuration, abcĂšs mal drainĂ©s profonds. Cette mĂ©thode radiologique tend Ă  s’imposer Ă©galement dans l’évaluation de l’efficacitĂ© des traitements mis en place pour le traitement des suppurations. Prendre en charge une suppuration anale de Crohn Ă  la phase initiale La prise en charge d’une suppuration anale de Crohn Ă  la phase aiguĂ« repose principalement sur le drainage des collections. La prĂ©sence d’un abcĂšs reprĂ©sente une des rares des indications de chirurgie urgente en proctologie. L’abcĂšs est trĂšs mal Ă©valuĂ© car sa diffusion au niveau des tissus mous de la graisse des fosses ischio anales ne le rend pas toujours accessible Ă  un seul examen clinique. TrĂšs souvent, son importance est sous-estimĂ©e et la prise en charge urgente dans un centre non spĂ©cialisĂ© conduit parfois un retard Ă  la prise en charge chirurgicale abcĂšs est jugĂ© non mĂ»r ». La difficultĂ© d’accĂšs Ă  une exploration radiologique de type IRM ne doit pas retarder la prise en charge chirurgicale lorsqu’il existe un doute sur une suppuration sous tension. Une suppuration de petite taille en rapport avec une fistule simple peut devenir, en quelques heures, une suppuration complexe du fait de son extension et de sa prise en charge thĂ©rapeutique. La prĂ©sence d’un abcĂšs de 2 cm de diamĂštre ou plus, la survenue de manifestations douloureuses itĂ©ratives avec perception d’une sensation de tension d’une fistule anale, une induration palpatoire sensible sont les trois Ă©lĂ©ments qui doivent conduire Ă  un geste de drainage non diffĂ©rĂ©. Le drainage chirurgical peut ĂȘtre effectuĂ© sous anesthĂ©sie locale lors d’une consultation lorsque l’abcĂšs est facilement accessible et peu profond. Il doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© sous anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale dans les autres cas. L’identification d’un trajet fistuleux et d’un orifice interne doit conduire Ă  mettre en place une anse de drainage. L’appareil sphinctĂ©rien doit toujours ĂȘtre respectĂ© et un geste de mise Ă  plat ne se conçoit Ă  ce stade que pour les seuls dĂ©collements sous cutanĂ©s. Les antibiotiques ne peuvent pas reprĂ©senter, Ă  eux seuls, la prise en charge d’un abcĂšs anal [12]. On ne dispose finalement pas d’essai randomisĂ© visant Ă  Ă©valuer l’efficacitĂ© des mĂ©dicaments antibiotiques dans le traitement des fistules anales Ă  la phase aiguĂ«. Les antibiotiques ayant une couverture anti Bacilles Gram nĂ©gatifs et anti anaĂ©robies sont habituellement prescrits ils encadrent le geste chirurgical. Le mĂ©tronidazole et la Ciprofloxacine sont les deux antibiotiques les plus rĂ©guliĂšrement prescrits. Les biothĂ©rapies n’ont pas de place dans le traitement des suppurations lorsqu’il existe une collection non ou mal drainĂ©e. Elles doivent mĂȘme ĂȘtre suspendues jusqu’à la date du drainage. Les anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens utilisĂ©s de façon intempestive pour contrĂŽler l’intensitĂ© de la douleur sont formellement contre-indiquĂ©s. Cette stratĂ©gie est valide Ă  la fois lors de la prise en charge d’un premier Ă©pisode de suppuration, mais Ă©galement dans le cadre d’une suppuration ancienne et/ou dĂ©jĂ  opĂ©rĂ©e. En conclusion, la suspicion d’un abcĂšs ou d’une fistule insuffisamment drainĂ©e doit conduire en prioritĂ© Ă  une prise en charge chirurgicale. Les autres stratĂ©gies non chirurgicales ne doivent pas ĂȘtre privilĂ©giĂ©es Ă  ce stade. ThĂ©rapeutiques non chirurgicales des lĂ©sions anales de Crohn Fistules et suppurations On dispose d’une mĂ©ta-analyse du niveau de rĂ©ponse sous placebo observĂ© dans les essais cliniques visant Ă  traiter des fistules anales de la maladie [17]. Cette mĂ©ta-analyse permet de prĂ©ciser le niveau de rĂ©ponse observĂ©e sous placebo mais aussi les facteurs qui sont associĂ©s Ă  un niveau de rĂ©ponse plus Ă©levĂ©. Une amĂ©lioration symptomatique est observĂ© chez un malade sur cinq et un tarissement des fistules anales chez un peu plus d’un malade sur sept. Le taux de rĂ©ponse thĂ©rapeutique favorable est meilleur en cas d’administration sous-cutanĂ©e du placebo, lorsque la durĂ©e de traitement est longue et lorsque l’évaluation est tardive. Les mĂ©dicaments anti-TNF alpha permettent d’obtenir un meilleur tarissement des trajets fistuleux drainĂ©s que le placebo le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique initial semble se maintenir Ă  l’occasion du traitement d’entretien. La mĂ©ta-analyse des essais contrĂŽlĂ©s randomisĂ©s montre un bĂ©nĂ©fice deux Ă  trois fois supĂ©rieur au placebo au terme du schĂ©ma d’induction [18]. Le premier essai contrĂŽlĂ© randomisĂ© dĂ©diĂ© au traitement des fistules anales a Ă©tĂ© publiĂ© en 1999 [19]. Le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique Ă©tait, en termes d’amĂ©lioration symptomatique et de guĂ©rison, de 68 et 55 % sous Infliximab versus 26 et 13 % sous placebo respectivement au terme du traitement d’induction. Le traitement d’entretien permettait, Ă  un an, un tarissement durable de la fistule dans 36 % des cas sous Infliximab et 19 % sous placebo [20]. Des rĂ©sultats comparables Ă©taient rapportĂ©s avec l’adalimumab dans le cadre d’une analyse de sous-groupe d’essais non spĂ©cifiquement dĂ©diĂ©es aux fistules anales [21]. Des Ă©tudes sont actuellement en cours pour tester l’efficacitĂ© de vedolizumab dans cette indication. L’évaluation de la rĂ©ponse thĂ©rapeutique reste un point crucial dans l’évaluation de l’efficacitĂ© des traitements. Depuis la publication de l’essai princeps, le critĂšre de guĂ©rison repose sur l’absence d’écoulement de l’ensemble des orifices externes visible soumis Ă  une pression digitale douce et la rĂ©ponse symptomatique par l’absence d’écoulement d’au moins la moitiĂ© des orifices. Ce critĂšre a une pertinence clinique le malade va bien, mais il est finalement assez grossier quand il est comparĂ© aux donnĂ©es de l’IRM. L’expĂ©rience d’un centre tertiaire a pu montrer que les deux tiers des malades considĂ©rĂ©s en cicatrisation clinique avaient des fistules encore actives sur le plan radiologique [22]. La rĂ©mission profonde en IRM ne concerne dans une autre expĂ©rience qu’un tiers des patients alors que 53 % Ă©taient en rĂ©mission clinique aprĂšs 40 mois de traitement par infliximab [23]. Les travaux de cohortes apportent quelques arguments utiles Ă  la prise en charge thĂ©rapeutique. Ils concernent certains Ă©lĂ©ments pronostiques du bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique prolongĂ© et l’analyse des associations dans le contexte d’une prise en charge multimodale. Un travail multicentrique transversal rĂ©cent suggĂšre un lien statistique entre la proportion de malades cicatrisĂ©s et les taux rĂ©siduels d’infliximabĂ©mie mesurĂ©s [24]. En d’autres termes, les taux Ă©taient trois fois supĂ©rieurs chez les malades ayant une fistule tarie que chez les malades ayant encore une fistule active. Dans un autre travail bicentrique analysant le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique de l’infliximab chez 156 malades ayant une fistule anale de Crohn, une plus longue exposition Ă  l’infliximab ou encore l’association de l’infliximab Ă  l’azathioprine Ă©taient des facteurs indĂ©pendants de meilleure rĂ©ponse thĂ©rapeutique [25]. Plusieurs expĂ©riences de centres tertiaires illustrent la complexitĂ© d’analyse d’efficacitĂ© des thĂ©rapeutiques lorsque sont associĂ©s des gestes chirurgicaux et des traitements. Ces stratĂ©gies combinĂ©es concernent finalement l’immense majoritĂ© sinon la totalitĂ© des malades pris en charge l’azathioprine ou le methotrexate, l’infliximab et la chirurgie sont proposĂ©s Ă  80 %, 77 % et 95 % des malades ayant une fistule de Crohn [26]. Le tarissement de la fistule est observĂ© plus de trois fois sur quatre aprĂšs un suivi de 48 mois, mais il est difficile d’analyser la part des gestes chirurgicaux itĂ©ratifs ou des changements de traitement de fond dans le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique acquis. Finalement, l’efficacitĂ© des antibiotiques administrĂ©s sur des longues pĂ©riodes de temps n’est pas prise en considĂ©ration. Dans un essai contrĂŽlĂ© randomisĂ©, l’association de la ciprofloxacine Ă  l’adalimumab pendant une pĂ©riode de 12 semaines doublait la proportion de rĂ©ponse complĂšte par rapport au placebo 65 % versus 33 %. Ce rĂ©sultat ne se maintenait pas aprĂšs l’arrĂȘt de l’antibiotique [27]. LĂ©sions anales non fistuleuses Les biothĂ©rapies n’ont pas d’AMM dans cette indication, et les Ă©tudes de cohortes dĂ©diĂ©es Ă  Ă©valuer leur efficacitĂ© sont peu nombreuses. Les ulcĂ©rations anales de la maladie de Crohn cicatrisent dans 47 et 70 % des cas aprĂšs un et deux ans de suivi respectivement [5]. Les ulcĂ©rations les plus sĂ©vĂšres cicatrisent plus lentement. Les malades traitĂ©s par infliximab seul ou associĂ© aux thiopurines ne cicatrisaient pas mieux ni plus vite dans ce travail [5] Les stĂ©noses du canal anal ont une prĂ©valence moindre, mais leur prise en charge thĂ©rapeutique est souvent dĂ©licate et le pronostic fonctionnel est clairement engagĂ©. La composante inflammatoire est souvent prĂ©sente et les suppurations complexes y sont associĂ©es dans deux tiers des cas. La rĂ©gression de la stĂ©nose est observĂ©e dans 32 et 45 % des cas aprĂšs un et deux ans de suivi respectivement. L’évolution Ă©tait plus favorable encore chez les malades qui avaient une suppuration associĂ©e. Les malades traitĂ©s par infliximab seul ou associĂ© aux thiopurines ne cicatrisaient pas mieux ni plus vite dans ce travail rĂ©trospectif [1]. En conclusion, les anti-TNF alpha et en particulier l’infliximab sont des mĂ©dicaments recommandĂ©s dans la prise en charge des suppurations anales de la maladie de Crohn drainĂ©e. Le bĂ©nĂ©fice symptomatique est franc chez plus d’une personne traitĂ©e sur deux, mais la rĂ©mission profonde radiologique ne concerne qu’un malade sur trois. Il peut y avoir un bĂ©nĂ©fice Ă  optimiser la dose, maintenir le traitement longtemps et associer des thiopurines et/ou la ciprofloxacine. Les stratĂ©gies de traitement d’entretien et de dĂ©sescalade de mĂȘme que les autres biothĂ©rapies manquent actuellement d’études d’évaluation. Le bĂ©nĂ©fice des biothĂ©rapies et des immunosuppresseurs est probablement marginal dans les lĂ©sions anales non fistuleuses et nĂ©cessite d’ĂȘtre Ă©valuĂ© par des Ă©tudes dĂ©diĂ©es. Obturer les fistules et limiter les sĂ©quelles des lĂ©sions anales Les stratĂ©gies de prise en charge des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn reposent sur le concept de diminution du processus inflammatoire Ă  la fois par le drainage de la suppuration et par l’utilisation des biothĂ©rapies. Ces stratĂ©gies sont souvent insuffisantes pour obtenir la fermeture complĂšte du trajet fistuleux. Le trajet n’est plus productif ou il l’est faiblement. Comme dans la maladie luminale, il existe une perte de rĂ©ponse au cours du suivi qui concerne environ un tiers des patients [22, 26]. L’objectif des stratĂ©gies d’obturation des trajets fistuleux est triple diminuer l’inconfort liĂ© Ă  la persistance de passages de mucus ou de gaz, limiter le risque de rĂ©cidive de la suppuration nouvel abcĂšs sur le trajet de la fistule et Ă©pargner l’appareil sphinctĂ©rien pour limiter les troubles de la continence sĂ©quellaire. Des stratĂ©gies chirurgicales ont donc Ă©tĂ© proposĂ©es pour rĂ©pondre Ă  cet objectif. Ces stratĂ©gies dites d’obturation ne peuvent ĂȘtre envisagĂ©es que lorsque les trajets sont bien drainĂ©s, peu inflammatoires, sans collection rĂ©siduelle et sans atteinte inflammatoire rectale. Les techniques les plus simples sont reprĂ©sentĂ©es par l’obturation du trajet fistuleux par une colle biologique, par un bouchon de bio collagĂšne ou par l’injection in situ de cellules souches mĂ©senchymateuses. Les mĂ©thodes plus dĂ©licates reposent sur des stratĂ©gies chirurgicales de lambeau muco musculaire interposĂ© au niveau de l’orifice interne de la fistule anale lambeau rectal d’avancement ou par la ligature du trajet fistuleux dans sa traversĂ©e intersphinctĂ©rienne. Il existe enfin des alternatives plus innovantes encore, reprĂ©sentĂ©es par la coagulation du trajet fistuleux par procĂ©dĂ©s physiques laser, radiofrĂ©quence. Les autres techniques chirurgicales sont anecdotiques. On dispose de trois essais multicentriques contrĂŽlĂ©s randomisĂ©s contre placebo dĂ©diĂ©s Ă  l’évaluation du traitement des fistules anales de Crohn drainĂ©es. Un premier essai a Ă©valuĂ© l’efficacitĂ© de la colle biologique [28]. Huit semaines aprĂšs le geste d’obturation, un tiers des malades traitĂ©s par colle biologique ne prĂ©sentait plus d’écoulement par le trajet fistuleux contre 16 % sous placebo. Le bĂ©nĂ©fice Ă©tait significativement meilleur chez les malades ayant une fistule simple. Ce rĂ©sultat ne se maintenait pas dans le temps puisque terme d’un suivi court de 16 semaines, 6 Ă  11 % des malades seulement gardaient un rĂ©sultat anatomique satisfaisant. La mise en place d’un bouchon de bio collagĂšne permet d’obtenir une fermeture du trajet fistuleux dans 33 % des cas contre 23 % sous placebo [29]. La diffĂ©rence n’était pas statistiquement significative. En analyse per protocole, la moitiĂ© des malades Ă©tait en rĂ©mission clinique au terme de la premiĂšre annĂ©e de suivi sans diffĂ©rence entre les deux groupes. L’injection autour du trajet fistuleux d’une suspension de cellules souches mĂ©senchymateuses allogĂ©niques a Ă©galement fait l’objet d’un essai contrĂŽlĂ© randomisĂ©. Tous les malades avaient Ă©galement une fermeture chirurgicale simple de l’orifice primaire [30]. MalgrĂ© une rĂ©ponse sous placebo Ă©levĂ©e plus d’un tiers des patients traitĂ©s il existait une diffĂ©rence significative en faveur des cellules souches avec un bĂ©nĂ©fice supplĂ©mentaire de 20 % analyse per protocole. Cette diffĂ©rence persistait selon que les malades Ă©taient ou non sous combothĂ©rapie au moment du traitement. Le temps mĂ©dian de rĂ©mission clinique Ă©tait de sept semaines aprĂšs injection de cellules souches contre quinze semaines sous placebo. Ce bon rĂ©sultat se maintenait dans le temps suivi Ă  un et deux ans. En revanche les paramĂštres n’étaient pas significativement modifiĂ©s. Il n’existe pas d’essais contrĂŽlĂ©s randomisĂ©s spĂ©cifiquement dĂ©diĂ©es Ă  l’analyse d’efficacitĂ© du lambeau rectal d’avancement dans le traitement des fistules anales de Crohn. On dispose, en revanche, d’expĂ©rience de centres tertiaires dans le traitement des fistules drainĂ©es crohniennes et non crohniennes ainsi que du traitement des fistules recto-vaginales. Globalement, cette opĂ©ration permet de cicatriser la moitiĂ© Ă  deux tiers de malades, au terme de procĂ©dures parfois rĂ©pĂ©tĂ©es [31]. Dans certains travaux rĂ©cents, les malades avec fistule de Crohn ont un rĂ©sultat fonctionnel et anatomique comparable Ă  ceux ayant une fistule anale d’origine cryptique. En cas de traitement de fistules crohniennes par lambeau rectal d’avancement, le recours associĂ© aux anti-TNF alpha permettrait d’obtenir de meilleures chances de guĂ©rison. La rĂ©alisation d’une stomie de dĂ©rivation permet d’augmenter les chances de succĂšs d’un facteur deux Ă  trois chez les malades ayant une fistule recto-vaginale, notamment en cas de rĂ©cidive de la suppuration aprĂšs un premier geste d’obturation [32]. Un essai contrĂŽlĂ© randomisĂ© rĂ©cent multicentrique a montrĂ©, dans les fistules d’origine cryptique non crohniennes, un bĂ©nĂ©fice clair en faveur du lambeau rectal d’avancement 38 % de rechute Ă  12 mois par rapport Ă  l’insertion d’un bouchon de bio collagĂšne 66 % de rechute Ă  12 mois [33]. Cette stratĂ©gie thĂ©rapeutique pourrait ĂȘtre par extrapolation pour la prise en charge des suppurations anales drainĂ©es de la maladie de Crohn, notamment lorsque l’orifice interne est large. Finalement les stratĂ©gies d’épargne sphinctĂ©riennes sont souvent dĂ©cevantes l’injection de cellules souches est aujourd’hui la mĂ©thode la plus efficace mais le bĂ©nĂ©fice anatomique Ă©valuĂ© en IRM questionne. Le lambeau rectal d’avancement manque d’évaluation dans le champ des fistules anales de Crohn. Il reste une alternative sĂ©duisante dans une stratĂ©gie bĂ©nĂ©fice, risque et coĂ»ts favorable. Les sĂ©quelles fonctionnelles anorectales de la maladie de Crohn sont principalement dominĂ©es par les troubles de la continence, notamment chez les femmes [34]. Ce constat invite aujourd’hui Ă  privilĂ©gier les stratĂ©gies qui limitent les lĂ©sions sphinctĂ©riennes comme les stratĂ©gies d’obturation Ă©voquĂ©es plus haut, mais ce ne sont pas les seules. Les approches chirurgicales du traitement des ulcĂ©rations et des stĂ©noses du rectum ou du canal anal ne sont pas recommandĂ©es. Les parturientes et leurs mĂ©decins sont plus facilement enclins Ă  proposer une dĂ©livrance par cĂ©sarienne dont l’incidence est plus Ă©levĂ©e qu’en population. Cette option peut ĂȘtre validĂ©e chez les patientes qui prĂ©sentent des lĂ©sions suppuratives actives et importantes au moment de l’accouchement et chez celles qui ont des sĂ©quelles importantes avant l’accouchement lĂ©sions sphinctĂ©riennes et troubles de la continence. En revanche, il n’y a pas, aujourd’hui, d’argument pour impliquer la responsabilitĂ© de l’accouchement par voie basse dans la survenue ou l’aggravation de lĂ©sions anales de la maladie de Crohn [10]. Le risque de survenue d’un phĂ©nomĂšne suppuratif aprĂšs dĂ©livrance est faible 8 % Ă  un an et 12 % Ă  deux ans. Ce sont davantage les Ă©vĂšnements liĂ©s Ă  l’histoire de la maladie de Crohn notamment les Ă©pisodes antĂ©rieurs de fistule que les conditions obstĂ©tricales Ă©pisiotomie qui conditionnent leur survenue. Conclusions Les lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales mĂ©ritent une attention particuliĂšre parce qu’elles constituent un Ă©lĂ©ment de pronostic dĂ©favorable de l’histoire naturelle de la maladie de Crohn. Elles se compliquent souvent, altĂšrent la qualitĂ© de vie et sont sources de sĂ©quelles fonctionnelles. Une vigilance particuliĂšre des cliniciens est attendue au stade du diagnostic des complications ne pas mĂ©connaĂźtre un abcĂšs, Ă  la mise en Ɠuvre de sĂ©quences thĂ©rapeutiques adaptĂ©es drainage, biothĂ©rapie, antibiothĂ©rapie et Ă  l’accompagnement de la prise en charge lorsque le processus inflammatoire est contrĂŽlĂ© obturation des trajets, sĂ©quelles fonctionnelles. RĂ©fĂ©rences Brochard C, Siproudhis L, Wallenhorst T, Cuen D, d’Halluin PN, Garros A, et al. Anorectal stricture in 102 patients with Crohn’s disease natural history in the era of biologics. Aliment Pharmacol Ther. 2014;407796-803. Wallenhorst T, Brochard C, Bretagne JF, Bouguen G, Siproudhis L. Crohn’s disease is there any link between anal and luminal phenotypes? Int J Colorectal Dis. 2016;312307-11. Schwartz DA, Loftus EV, Jr., Tremaine WJ, Panaccione R, Harmsen WS, Zinsmeister AR, et al. The natural history of fistulizing Crohn’s disease in Olmsted County, Minnesota. Gastroenterology. 2002;1224875-80. 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\n\n \nclassement selon la sensibilité de la peau
Danschaque numĂ©ro : Des reportages sur les animaux, la nature, l'environnement, la technologie, les pays lointains Une expĂ©rience facile et amusante. Description L'annĂ©e psychologique - AnnĂ©e 1937 - Volume 38 - NumĂ©ro 1 - Pages 609-61911 pagesSource PersĂ©e ; MinistĂšre de la jeunesse, de l’éducation nationale et de la recherche, Direction de l’enseignement supĂ©rieur, Sous-direction des bibliothĂšques et de la documentation. Sujets Informations PubliĂ© par PubliĂ© le 01 janvier 1937 Nombre de lectures 24 Langue Français Extrait b SensibilitĂ© mĂ©canique et thermique de la peauIn L'annĂ©e psychologique. 1937 vol. 38. pp. ce document / Cite this document b SensibilitĂ© mĂ©canique et thermique de la peau. In L'annĂ©e psychologique. 1937 vol. 38. pp. CUTANEES ET SOUS-CUTANEES 609 pendantes de la voie pyramidale que le frisson dĂ» au refroidisse ment rĂ©el et exige aussi intĂ©gritĂ© cĂ©rĂ©belleuse Dans certaines lĂ©sions mĂ©dullaires on pu constater que les seuls muscles qui frissonnaient Ă©taient commandĂ©s par les segments spi naux recevant des influx affĂ©rents cutanĂ©s Il donc dans le frisson une rĂ©action prĂ©coce dĂ©clenchĂ©e par les excitations cutanĂ©es de refroidissement mais un niveau infra- cortical 994 VON BR CKE Ueber SinnestĂ€uschungen auf Grund eines MiszverhĂ€ltnisses zwischen Kraft-empfindungen und wahrgenommener Leistung Des illusions sensorielles fondĂ©es sur un faux rapport entre des sensations de force et la rĂ©alisation motrice per ue fĂŒr Sin. LXVII 1937 145-148 auteur souffrant de rhumatisme dans Ă©paule droite imagine en nageant il est dans un milieu extrĂȘmement visqueux et rĂ©sis tant illusion tient une certaine immobilisation antalgique de Ă©paule oĂč rĂ©sulte une moindre efficience motrice pour effort fourni et est cette moindre efficience per ue aprĂšs la lenteur de la progression qui donne impression une grande rĂ©sistance du milieu ConsidĂ©rations gĂ©nĂ©rales partir de ce petit fait 995 COSTA illusione di Poggendorft al tatto illusion de Poggendorff dans le domaine du tact Ar it di Ps. XV 1937 363-370 Ă©tudie illusion de Poggendorff dans le domaine du tact actif au moyen un dispositif spĂ©cial il dĂ©crit Les rĂ©sultats obtenus rĂ©vĂšlent la prĂ©sence constante de illusion erreur semble augmenter avec accroissement de la distance des parallĂšles et est plus grande une inclinaison de 30 avec une de 45 parti culiĂšrement avec un Ă©cartement de cm entre les Cette expĂ©rience confirme les rĂ©sultats obtenus par Revesz concernant cette mĂȘme illusion ainsi que hypothĂšse faite par dans ses recherches prĂ©cĂ©dentes sur existence Ă©lĂ©ments communs espace aveugle et espace visuel dans les perceptions spatiales SensibilitĂ© mĂ©canique et thermique de la peau1 996 BECKER et FR HLE Ueber die SensibilitĂ€t der druckpunktfreien Haut Sur la sensibilitĂ© de la peau privĂ©e de points de pression Pf A. CCXXXVIII 1937 592-597 Les auteurs dans une rĂ©gion de la cuisse points de pression peu denses localisent de ces points en triangle et les anesthĂ©sient une goutte de la solution de butocaĂŻne est dĂ©posĂ©e sur le point et on pique la peau avec une aiguille fine pointe AprĂšs anesthĂ©sie le seuil passe de 03 15-19 gr. un 4e point voisin son seuil quadruplĂ© et dans la rĂ©gion centrale le seuil Ă©lĂšve fois 1/2 la valeur initiale Voir aussi les noe 351 352 353 497 990 991 992 993 ANN PSyCHOLOOIIlĂŒE 39 610 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES Si on anesthĂ©sie trois points ne correspondant pas des points de pression au centre le seuil est pas modifiĂ© La piqĂ»re seule sans anesthĂ©sique des points sensibles est- inefficace Les auteurs concluent il bien une rĂ©ception tactile cutanĂ©e- en dehors des points de Von Frey mais que au voisinage de ces points la sensibilitĂ© est assurĂ©e abord par ceux-ci leur anesthĂ©sie- entraĂźnant bien par suppression de leur intervention fonctionnelle une Ă©lĂ©vation de seuil 997 GUILFORD et LOVEWELL The touch- spots and the intensity of the stimulus Les points de tact et in tensitĂ© du stimulus of gen Ps. XV 1936 149-159 surfaces de cm2 furent explorĂ©es sur le dos de la main de sujets 200 points par cm2 Ă©tant testĂ©s avec des stimuli variant de 160 cg Le pourcentage des points positifs croĂźt 100 avec intensitĂ© Bien que des rĂ©ponses de douleur apparaissent parfois- dĂšs cg restant rares 40 cg. la courbe croĂźt rĂ©guliĂšrement en ogive avec un petit plateau vers 10 cg de points positifs selon les sujets Les soulignent surtout que les nouveaux points positifs ne accumulent pas autour des premiers qui peuvent mĂȘme cesser de rĂ©pondre pour un stimulus accru Il agirait donc de gradients de sensibilitĂ© de probabilitĂ© de rĂ©ponse et non de points de tact accroissement du aurait effets favorables exciter des rĂ©cepteurs moins sensibles augmenter la frĂ©quence influx Ă©tendre aire dĂ©formĂ©e donc la zone de recrutement Ă©tude est reprendre avec un tacteur mieux contrĂŽlĂ© un crin appliquĂ© et retirĂ© la main selon une vitesse et une incidence variables. 998 RICCI Sulla sensibilitĂ  di differenza apprezza mento tattile di stimoli estesi applicati su regioni differenti della pelle Sur la sensibilitĂ© diffĂ©rentielle dans apprĂ©ciation tactile de stimuli Ă©tendus appliquĂ©s sur des rĂ©gions diffĂ©rentes de la peau Ar it di Ps. XV 1937 370-383 utilise des stimuli punctiformes Dans une premiĂšre sĂ©rie Ă©preuves le stimulus normal et le stimulus de comparaison Ă©taient appliquĂ©s sur avant-bras droit Dans une deuxiĂšme sĂ©rie le stimulus normal est appliquĂ© sur avant-bras droit et le stimulus de comparai son sur avant-bras gauche ou inversement Les rĂ©sultats recueillis confirment ceux prĂ©cĂ©demment obtenus par Gatti et Danesimo Le seuil absolu tend se maintenir constant et le seuil relatif de diffĂ©rence tend diminuer lorsque le stimulus accroĂźt 999 GILMER ThĂ© relation of vibratory sensitivity to pressure Le rapport entre la sensibilitĂ© vibratoire et la pression of exp Ps. XXI 1937 456-463 Pour trancher la question controversĂ©e de existence une- sensibilitĂ© tactile vibratoire distincte de la sensibilitĂ© la pression on explorĂ© diverses rĂ©gions du corps avec des vibrations mĂ©caniques ou Ă©lectriques de frĂ©quence variable Les rĂ©gions de la peau les plus CUTANEES ET SO LS-CĂŒTANEES 61t SENSATIONS sensibles la vibration mĂ©canique sont aussi les plus sensibles la pression Les points insensibles la pression sont relativement insensibles la Le courant Ă©lectrique ne donne de percep tion de vibration que sur les points sensibles la pression au voi sinage de ces points il donne la sensation de vibration brĂ»lante et dans les rĂ©gions privĂ©es de ces points celle de douleur Les seuils de vibration sont toujours plus Ă©levĂ©s que les seuils de douleur brĂ»lante auteur conclut que la vibration est autre chose- une pression intermittente 1000 CUMMINGS et WEDELL Adaptation vibratory stimuli Adaptation aux stimuli vibratoires Eastern Branch Am Ps Assoe. Ps Bul. XXXIV 1937 520-521 Application sur mm de diamĂštre la paume de la main une tige reliĂ©e un haut-parleur magnĂ©tique et dĂ©terminations de seuils chez sujets aprĂšs une stimulation continue de minutes 25 dt> au-dessus du seuil normal La rĂ©duction adaptative de sensibilitĂ© maxima pour une stimula tion de d. minima pour celle de 64 Ă©tend aux frĂ©quences plus Ă©levĂ©es mais peu aux frĂ©quences plus basses et augmente avec intensitĂ© de la stimulation avec de notables variations- individuelles 1001 BELLOWS An experimental isolation of some factors determining response to rythmic stimulation II Tempe rature isolement experimental de quelques conditions de lec rĂ©ponse une stimulation rythmique II TempĂ©rature of exp Ps. XX 1937 169-177 On dĂ©termine la frĂ©quence critique de fusion des sensations ctiles successives produites par un courant air intermittent dirigĂ© sur une rĂ©gion de la peau La tempĂ©rature de cet air est nullement indiffĂ© rente Entre et 80 le seuil est abord assez bas voisin de 50 pĂ©riodes par seconde puis il Ă©lĂšve abaisse ensuite entre 35 et 45 puis Ă©lĂšve de nouveau adaptation de la peau joue una rĂŽle La frĂ©quence critique est plus Ă©levĂ©e pour un courant air 37 quand la peau est adaptĂ©e une tempĂ©rature de 18 que quand elle est adaptĂ©e 37 1002 BELLOWS An experimental isolation of som factors determining response to rhythmic cutaneous stimula tion III Interpretation Isolement expĂ©rimental de quelques facteurs dĂ©terminant la rĂ©ponse des stimulations cutanĂ©es rythmi- quĂȘs III InterprĂ©tation Ps Rev. XLIV 1937 62-76 appareil permet de projeter rythmiquement un courant air de pression connue sur un point de la peau avec une frĂ©quence Ă©gale ment La pression est mesurĂ©e en mm par un manomĂštre mercure Le nombre de projections par secondes est comptĂ© Ă©lectri que K4tZV.
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  • classement selon la sensibilitĂ© de la peau