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Le jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu oĂč tout le monde a tĂŽt ou tard besoin dâaide supplĂ©mentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles. Plus tĂŽt ou plus tard, vous aurez besoin dâaide pour rĂ©ussir ce jeu stimulant et notre site Web est lĂ pour vous fournir des CodyCross Classement selon la sensibilitĂ© de la peau rĂ©ponses et dâautres informations utiles comme des astuces, des solutions et des astuces. Ce jeu est fait par le dĂ©veloppeur Fanatee Inc, qui sauf CodyCross a aussi dâautres jeux merveilleux et dĂ©routants. Si vos niveaux diffĂšrent de ceux ici ou vont dans un ordre alĂ©atoire, utilisez la recherche par indices ci-dessous. CodyCross Spa et bien-ĂȘtre Groupe 811 Grille 5PHOTOTYPE
Selonnos confrĂšres du Bien Public, une nouvelle maladie gĂ©nĂ©tique de la peau vient d'ĂȘtre expliquĂ©e par l'Ă©quipe du centre de rĂ©fĂ©rence Maladies rares de la peau et des muqueuses d
Sommaire1 Comparatif pour acheter des crĂšmes anesthĂ©siantes avec ou sans ordonnance2 La crĂšme anesthĂšsiante EMLA 5%, Base de Quand utiliser la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA 5% ? Mise en garde de la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA ? CrĂšme anesthĂ©siante EMLA, avec ou sans ordonnance ?3 CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance, Dynexangival 1 %4 CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance MaxilĂšne5 CrĂšme anesthĂ©siante Pliagilis6 Dr NUMB, la crĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance Comment fonctionne Dr Numb ?7 CrĂšme anesthĂ©siante Anesderm Comparatif pour acheter des crĂšmes anesthĂ©siantes avec ou sans ordonnance Dans le monde des crĂšmes anesthĂ©siantes, il y a beaucoup de produit. Nous vous expliquons ici la diffĂ©rence de chaque crĂšme anesthĂ©siante pour que vous puissiez faire votre choix ! Nom de la crĂšmeOrdonnanceDurĂ©e d'actionRemboursĂ©Temps d'application Emla 5%Oui4h65%10min Dr NmbNon3hNon30s Anesderm 5%Oui4h65%60min PliagilisOui2hNon30min MaxilĂšneNonXNonX Dynexangival 1 %Non1hNon5min Retrouvez maintenant, la description un peu plus technique de toutes les pommades anesthĂ©siantes. La crĂšme anesthĂšsiante EMLA 5%, Base de lidoicaĂŻne Câest une des crĂšmes anesthĂ©siantes avec ordonnance les plus connues ; Emla 5% est un anesthĂ©sique local dĂ©veloppĂ©, Ă lâorigine, pour insensibiliser une zone de la peau et les tissus peu profonds dans le cadre des interventions mĂ©dicales rapides. La creme Emla est composĂ© de lidocaĂŻne 2, 5g, de prilocaĂŻne 2,5g et de lâhuile de ricin. EMLA serait Ă©galement utilisĂ© pour combattre la douleur des ulcĂšres des membres. Une autre utilisation dâEMLA serait la prise en charge de lâĂ©jaculation prĂ©coce. Quand utiliser la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA 5% ? LâĂ©jaculation prĂ©coce sâobserve rĂ©guliĂšrement dans la vie de lâhomme. Au tout dĂ©but des premiĂšres activitĂ©s sexuelles masculines, elle est presque inĂ©vitable. On la rencontre Ă©galement Ă certains moments de la vie de lâadulte, surtout Ă lâĂąge mur. Elle atteindrait un quart de la population mĂąle. Elle se dĂ©finit comme lâatteinte involontaire dâun niveau dâexcitation et du point de non retour amenant automatiquement Ă une Ă©jaculation non dĂ©sirĂ©e de lâhomme. LâĂ©jaculation prĂ©coce serait dĂ©finie par lâincapacitĂ© de lâhomme Ă diffĂ©rer son Ă©jaculation dans un dĂ©lai infĂ©rieur Ă une minute aprĂšs lâintromission du pĂ©nis. Dans ses indications relatives Ă lâĂ©jaculation prĂ©coce, les thĂ©rapeutes auraient proposĂ© lâutilisation des anesthĂ©siques locaux pour rĂ©duire la sensibilitĂ© de la verge et surtout du gland. Pour cela, la peau doit ĂȘtre trĂšs propre et sĂšche. Etaler une fine couche de crĂšme sur la base du gland. Pour Ă©viter des possibles rĂ©actions dâintolĂ©rance ou dâirritation, il est souhaitable de ne mettre que de petites quantitĂ©s de crĂšme anethĂ©siante. Il suffirait dâappliquer une petite noisette Ă la base du gland dĂ©calottĂ©. Le temps de pose de ces crĂšmes anesthĂ©siantes sur ordonnance est au minimum de 10 minutes et au maximum dâune heure. La durĂ©e de lâeffet de la crĂšme est de 4 heures. La crĂšme doit ĂȘtre totalement Ă©liminĂ©e avec de lâeau et du savon avant le rapport sinon les sensations du partenaire pourront ĂȘtre anesthĂ©siĂ©es. Les utilisateurs des crĂšme anesthĂ©siante recommandent de ne pas appliquer le produit sur tout le gland au risque dâinduire une insensibilitĂ© totale de lâorgane sexuel, rendant le rapport difficile sinon impossible. Lâaction anesthĂ©siante du produit nâagirait pas sur les nerfs de lâĂ©rection. AprĂšs le temps dâactivitĂ© du produit, la sensibilitĂ© du gland revient progressivement ainsi que toutes les sensations de plaisir. LâĂ©jaculation peut alors se produire. Mise en garde de la crĂšmes anesthĂ©siantes EMLA ? La quantitĂ© de crĂšme anesthĂ©qiante Ă utiliser et le temps de rĂ©ponse maximale au produit dĂ©pendant de la constitution de chaque patient, il lui appartient de rechercher par plusieurs essais la quantitĂ© optimale et le temps dâattente nĂ©cessaire Ă une bonne rĂ©ponse de son organisme et de celui de sa partenaire. Si le patient utilise un prĂ©servatif, le nettoyage du gland avant le rapport est facultatif. Lâusage concomitant de la crĂšme anesthĂ©siante Emla et dâun prĂ©servatif retardent le risque de potentialiser les effets et dâarriver Ă un rĂ©sultat contraire au but recherchĂ©. En effet, un risque de surdosage peut entraĂźner une insensibilisation de la verge rendant impossible lâintromission. Les produits spĂ©cifiques au traitement de lâĂ©jaculation prĂ©coce seraient assez rĂ©cents en France. Lâaction des principes actifs de la crĂšme EMLA en tant que retardateur de lâĂ©jaculation prĂ©coce vise Ă diminuer la sensibilitĂ© du pĂ©nis et du gland et de permettre ainsi le contrĂŽle de lâexcitation de lâhomme. La qualitĂ© des sensations et de lâorgasme ne serait pas modifiĂ©e. Les effets de la crĂšme anesthĂ©siante sâestompent au bout de 4 heures. MolĂ©cule disponible depuis longtemps 1943, la lidocaĂŻne est le produit emblĂ©matique des anesthĂ©siques locaux de type amino-amide. Son nom signifierait quâelle rendait les membres insensibles comme du bois, selon les racines grecques du nom. Elle agit en inhibant la conduction nerveuse par le blocage du canal sodique, ce qui explique le blocage de la douleur. Des effets indĂ©sirables importants pourraient toutefois survenir en cas de passage intravasculaire accidentel du produit toxicitĂ© neurologique et cardiaque. La lidocaĂŻne est un anesthĂ©sique local dâaction rapide sur une longue durĂ©e avec une efficacitĂ© Ă©prouvĂ©e. CrĂšme anesthĂ©siante EMLA, avec ou sans ordonnance ? La lidocaĂŻne peut ĂȘtre utilisĂ©e dans les cas de douleurs dues Ă des lĂ©sions bĂ©nignes des muqueuses buccales et gingivales aphtes, blessures traumatiques et prothĂ©tiques, irritation des gencives. Il est remboursĂ© Ă 65 % par la sĂ©curitĂ© sociale. EMLA est disponible sur ordonnance. CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance, Dynexangival 1 % CrĂšme anesthĂ©sante gencive ou buccale est Ă base de lidocaĂŻne. Elle est rĂ©servĂ©e Ă lâadulte et lâenfant de plus de 6 ans pour un usage local strict pat application buccale et gingivale. Il faudrait appliquer 0,2 mg de crĂšme et masser doucement la zone douloureuse. Dynexangival est une crĂšme anĂ©hĂ©siante disponible sans ordonnance. Elle agit contre la douleur mais nâa pas dâaction sur sa cause. Il agit trĂšs rapidement et son effet dure une heure environ. Une attention particuliĂšre doit ĂȘtre de mise car, du fait de lâanesthĂ©sie locale, le patient risque de se mordre les lĂšvres, les joues ou la langue sans sâen rendre compte. La lidocaĂŻne Ă 2% alliĂ©e dâautres substances actives carraghĂ©nates, lâoxyde de zinc et le dioxyde de titane constituent la composition du TitanoreĂŻne, indiquĂ© dans le traitement symptomatique des sensations de brĂ»lures et des dĂ©mangeaisons de lâanus, dans le contexte des affections hĂ©morroĂŻdaires. Ce mĂ©dicament contient en outre des substances protectrices et cicatrisantes. CrĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance MaxilĂšne MaxilĂšne est une crĂšme anesthĂ©siante utilise un dosage de 4 ou 5% de lidocaĂŻne pour une crĂšme topique en vente libre sans ordonnace. MaxilĂšne 4 et MaxilĂšne 5 sont destinĂ©es Ă traiter la douleur et la dĂ©mangeaison des brulures superficielles, les coups de soleil, les irritations de la peau et les piqĂ»res dâinsectes. MaxilĂšne 5 est indiquĂ©e pour la prise en charge des problĂšmes hĂ©morroĂŻdaires. les crĂšmes anesthĂ©siantes MaxilĂšne sont rĂ©guliĂšrement utilisĂ©e pour supprimer la douleur de lâĂ©pilation. Il nâest pas nĂ©cessaire de prĂ©voir un pansement occlusif dans lâapplication de MaxilĂšne sauf dans le cas oĂč il aurait nĂ©cessitĂ© de prĂ©venir toute ingestion accidentelle comme dans le cas de certains jeunes patients. CrĂšme anesthĂ©siante Pliagilis la crĂšme anesthĂ©siante Pliagilis est composĂ© de deux anesthĂ©siques locaux, la lidocaĂŻne et la tĂ©tracaĂŻne, qui sont dissous dans lâĂ©piderme et le derme oĂč ils se positionnent aux alentours des rĂ©cepteurs de la douleur et des terminaisons nerveuses. Ces deux principes bloquent les canaux ioniques nĂ©cessaires Ă la transmission des influx nerveux pour permettre une anesthĂ©sie locale de la zone concernĂ©e. Un gramme de Pliagilis contient 70 mg de lidocaĂŻne et 70 mg de tĂ©tracaĂŻne. Pliagilis est surtout utilisĂ© dans les interventions dermatologiques comme la thĂ©rapie laser Ă colorant pulsĂ©, lâĂ©pilation au laser, les injections de produits de comblement, les abords vasculairesâŠIl est recommandĂ© de lâappliquer pendant 30mn environ avant lâintervention. Pliagilis est aussi indiquĂ© avant les interventions dâablation au laser des tatouages ou lâablation des veines des jambes. Dans ces cas, il devrait ĂȘtre appliquĂ© 60mn environ avant lâintervention. Dans tous les cas, la surface concernĂ©e ne doit pas dĂ©passer 400 cmÂČ. La quantitĂ© de crĂšme anesthĂ©siante Ă appliquer est dâenviron 1,3 g de crĂšme par cm2 ce qui Ă©quivaut Ă deux phalangettes. La crĂšme sâapplique sur la peau saine et forme un film quâon va dĂ©coller avant lâintervention mĂ©dicale. Sauf sur le visage, le patient peut sâappliquer lui-mĂȘme la crĂšme. Elle doit ĂȘtre conservĂ©e au rĂ©frigĂ©rateur +2 Ă +8 °C ou Ă tempĂ©rature ambiante ; une fois ouverte ou gardĂ©e hors frigo, elle se garde trois mois. Il est dĂ©conseillĂ© de lâappliquer sur une peau lĂ©sĂ©e, sur les muqueuses ou avant lâinjection dâun vaccin vivant, car la lidocaĂŻne peut inhiber la croissance microbienne. Lâapplication de Pliagilis doit ĂȘtre rĂ©alisĂ©e uniquement avec une spatule ou une abaisse langue. Pliagilis nâest pas remboursĂ© par la sĂ©curitĂ© sociale. Dr NUMB, la crĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance amĂ©ricaine Cette crĂšme anesthĂ©siante sans ordonnance connaĂźt un engouement auprĂšs des gens adeptes des piercings, tatouages, Ă©pilation ou du botox. Les principes actifs de Dr. Numb seraient la lidocaĂŻne, la prilocaĂŻne et la benzocaĂŻne Ă raison, respectivement de 5%,5%, 3%. Selon les informations fournies par ses promoteurs, la crĂšme anesthĂ©siante Dr Numb doit son efficacitĂ© Ă lâaction synergique de ses 3 principes actifs la lidocaĂŻne, la prilocaĂŻne et la benzocaĂŻne. Chacun dâeux joue un rĂŽle prĂ©cis qui permet Ă la crĂšme anesthĂ©siante dâinsensibiliser si bien la peau que la douleur ne devienne quâun lointain souvenir pour ses utilisateurs. La prilocaĂŻne est un anesthĂ©sique local gĂ©nĂ©ralement utilisĂ© en association avec la lidocaĂŻne. Son mĂ©canisme dâaction est similaire Ă celui de la lidocaĂŻne. La benzocaĂŻne est utilisĂ©e originellement en mĂ©decine comme anesthĂ©sique local dâusage externe mais Ă©galement pour lutter contre la douleur dans les maux de gorge, dĂ©mangeaisons, douleurs dentaires. Câest une molĂ©cule tirĂ©e de lâacide para amino-benzoĂŻque et utilisĂ©e dans plus de 600 prĂ©parations de produits largement utilisĂ©s par le grand public. Elle permettrait de bloquer la conduction des influx nerveux en agissant, de façon transitoire et sĂ©lective sur les voies nerveuses sensitives, sensorielles, sympathiques, parasympathiques et motrices. Dans son mode dâaction elle agit sans modifier lâĂ©tat de conscience. Lors de son lancement en France en 2011, la crĂšme anesthĂ©siante Dr Numb est disponible sans ordonnance. Selon les utilisateurs, la crĂšme anesthĂ©siante Dr. Numb nâaffecte pas lâencre ni lâĂ©lasticitĂ© de la peau ; elle facilite donc le travail de tatouage ; de ce fait elle attĂ©nue considĂ©rablement les sensations douloureuses pour lâensemble des Ă©tapes du tatouage ou Ă©pilation injections, tatouages, piercings, dĂ©tatouage au laser, Ă©pilation au laser, Ă©pilation Ă la cire. CrĂšme anesthĂ©siante Anesderm La crĂšme anesthĂ©siante anesderm est composĂ©e de comprilocaĂŻne et lidocaĂŻne. Elle est destinĂ©e Ă insensibiliser la zone cutanĂ©e par voie locale de la peau saine, avant des interventions mĂ©dicales comme les ponctions veineuses ou sous-cutanĂ©es ou avant des actes de chirurgie cutanĂ©e superficielle, instrumentale ou par rayon laser.
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Ăvoir sur BAnQ numĂ©rique : Technologies langagiĂšres et apprentissage des langues : actes du Colloque Les Nouvelles technologies et le traitement automatique des langues au coeur des dispositifs d'apprentissage, prĂ©sentĂ© dans le cadre du 72e CongrĂšs de l'Acfas, Ă l'UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă MontrĂ©al, les 11 et 12 mai 2004 /
info dans groupe Glossaire info articles lies mot La sensibilitĂ© Ă la pression est dĂ©clenchĂ©e par des appuis importants sur la surface cutanĂ©e et est transmise par lâintermĂ©diaire des disques de Merkel superficiels et des corpuscules de Ruffini profonds qui sont des rĂ©cepteurs de pression Ă adaptation lente, qui codent lâintensitĂ© de la pression en codant lâintensitĂ© de la stimulation par la frĂ©quence de leur potentiel dâaction. Ils sont actifs dĂšs le dĂ©but de la pression exercĂ©e sur le revĂȘtement cutanĂ© et ne cessent de lâĂȘtre quâĂ la fin de celle-ci. Ils codent donc lâintensitĂ© et la durĂ©e de la pression. Les disques de Merkel sont des rĂ©cepteurs superficiels situĂ©s Ă la base de lâĂ©piderme . Un disque de Merkel est composĂ© de la terminaison en forme de disque dâune ramification dâune fibre myĂ©linisĂ©e qui est apposĂ©e Ă une cellule de Merkel avec laquelle elle Ă©tablit des contacts synaptiques. Les zones riches en disques de Merkel peuvent former des dĂŽmes tactiles. Ils rĂ©pondent Ă des pressions localisĂ©es enfoncement de la peau et la rĂ©ponse au stimulus est phasico-tonique Ă adaptation lente. Ils peuvent ainsi coder la position et la vitesse du stimulus, soit lâindentation de la peau. Les corpuscules de Ruffini dâallure fuselĂ©e sont situĂ©s dans le derme . Dans un corpuscule de Ruffini la terminaison axonale est entourĂ©e dâune capsule fibroblastique, perd sa myĂ©line et se ramifie abondamment. Des fibres de collagĂšne traversent la capsule et ancrent mĂ©caniquement le corpuscule au derme. En plus de la pression, ils dĂ©tectent la pression lâintensitĂ© et la direction des Ă©tirements de la peau et informent le systĂšme nerveux central sur les forces et les directions des cisaillements cutanĂ©s accompagnant un mouvement articulaire. Articles Le systĂšme nerveux cutanĂ© jeudi 26 novembre 2015 par Michel DĂ©marchez Mots-clĂ©s dans le mĂȘme groupe Autres groupes de mots-clĂ©s Navigation
Sonétendue dépend principalement de la force du choc et de la vascularisation de la région touchée. En rÚgle générale, l'ecchymose est de petite taille. L'hématome sous-cutané fait saillie sous la peau, il est bleu foncé puis il vire au vert et jaune avant de régresser beaucoup plus lentement qu'une ecchymose.
BeautĂ© Avoir une peau radieuse est une quĂȘte incessante dont on sâacquitte du mieux quâon peut. Il est tellement facile de se perdre dans le dĂ©dale des conseils et des produits commercialisĂ©s ! En connaissant Ă la base son type de peau, on garde le cap sur les soins et les gestes adaptĂ©s. Photo Est-ce que notre eÌpiderme est sec ou plutoÌt gras ? Peut-eÌtre est-il mixte ? Comment sây retrouver ? Il existe diffeÌrentes façons dâidentifier les types de peaux. Les dermatologues utilisent lâeÌchelle de Fitzpatrick, qui eÌtablit le classement en fonction des caracteÌristiques de pigmentation et de la capaciteÌ aÌ bronzer. Les cateÌgories phototypes sont chiffreÌes de I carnation treÌs paÌle, qui bruÌle toujours aÌ VI peau treÌs fonceÌe, qui bronze treÌs aiseÌment et ne brĂ»le jamais. Les spĂ©cialistes se rĂ©fĂšrent Ă ces bareÌmes afin de deÌterminer si le patient risque de deÌvelopper un cancer de la peau », explique la Dre EÌmilie Bourgeault, dermatologue et cofondatrice de une clinique de dermatologie en ligne. Les entreprises de cosmeÌtiques font usage dâun autre systeÌme, qui reÌpertorie les types de peaux en quatre grandes familles normale, seÌche, grasse et mixte aÌ la fois seÌche et grasse. Câest lâentrepreneure visionnaire Helena Rubinstein, fondatrice de la marque de beauteÌ eÌponyme, qui a inventeÌ cette classification en 1910, eÌtablissant que chaque type de peau a des besoins speÌcifiques de soins. Les consommatrices sont plus familieÌres avec cette nomenclature. Mais dans quelle cateÌgorie peut-on mettre les peaux sensibles ? Il ne sâagit pas dâun type, mais plutoÌt dâun eÌtat de peau. Un eÌtat peut eÌtre causeÌ par des stimuli externes ou internes, ou une deÌfaillance du systeÌme immunitaire », preÌcise William Gauthier, formateur reÌgional des laboratoires Pierre Fabre. Tous peuvent en eÌtre affecteÌs au cours de leur vie. Ainsi, une personne aÌ la peau normale peut vivre des peÌriodes de sensibilitĂ© cutanĂ©e exacerbĂ©e. Il faut eÌgalement bien distinguer la peau seÌche, identifieÌe comme un type, et la peau deÌshydrateÌe, qui est un eÌtat. La premieÌre tiraille depuis des anneÌes. Elle deÌmange et affiche une rugositeÌ et des desquamations. La peau ne produit pas assez de lipides [corps gras], entre autres de ceÌramides. Et cela fragilise la barrieÌre cutaneÌe », souligne Nathalie Pelletier, directrice, recherche et deÌveloppement, affaires scientifiques chez Jouviance, une marque queÌbeÌcoise. Une peau deÌshydrateÌe, quant aÌ elle, souffre dâune carence en eau. Elle est inconfortable aÌ lâoccasion, surtout apreÌs le nettoyage, et cela peut durer quelques jours, voire des semaines, selon les saisons. Elle peut preÌsenter de la brillance sur la zone T [lâaxe front, nez et menton] », dit lâexperte. Il nâest pas inhabituel que la peau soit aÌ la fois seÌche et deÌshydrateÌe. Photo Getty Images/Peter Finch IdentiteÌ cutaneÌe Comment qualifier son type de peau ? On peut proceÌder par autodiagnostic avec la technique du papier de soie, qui agit comme un buvard. ApreÌs avoir nettoyeÌ le visage avec un produit doux au pH neutre, attendre 30 minutes â le temps que la peau retrouve son eÌquilibre. Appliquer une bande de papier sur la partie meÌdiane, du front au menton, et une autre sur une joue. On appuie sur les bandes sans frotter pendant deux minutes, puis on retire. Les deux papiers sont tacheÌs ? La peau est grasse. Seule la bande meÌdiane est humidifieÌe ? On a affaire aÌ un type mixte. Peu de reÌsidus ? Peau normale. Papier intact ? Câest un cas de seÌcheresse. Des instituts de beauteÌ disposent de technologies de diagnostic numeÌrique qui mesurent avec preÌcision le taux dâhydratation, la sensibiliteÌ, etc. aÌ lâaide dâimagerie cutaneÌe. Des conseilleÌres et des estheÌticiennes peuvent nous aider aÌ deÌterminer notre type de peau. Enfin, des applications telles que TroveSkin ou Skin360 permettent, graÌce aÌ un eÌgoportrait, dâeÌvaluer les signes dâimperfections pores dilateÌs, boutons, exceÌs de seÌbumâŠ. Les algorithmes tiennent en compte lâactiviteÌ physique, la qualiteÌ du sommeil, les cosmeÌtiques utiliseÌs, pour ensuite dresser un bilan et proposer une routine beauteÌ adapteÌe. Peau sĂšche Comment la reconnaiÌtre Rugueuse au toucher, sillonneÌe de ridules, elle peut preÌsenter des squames en cas dâextreÌme seÌcheresse. Elle souffre dâune sensation constante de tiraillement et elle manque dâeÌclat. Jâajouterais une autre caracteÌristique des pores treÌs fins, cela eÌtant duÌ aÌ la faible production de seÌbum », souligne William Gauthier. Causes PreÌdispositions geÌneÌtiques, vieillissement cutaneÌ, changements hormonaux meÌnopause, soleil, froid, vent, contact prolongeÌ et reÌpeÌteÌ avec lâeau⊠La barrieÌre naturelle de lâeÌpiderme film hydrolipidique est alteÌreÌe par une carence en lipides. Elle ne peut plus preÌserver son hydratation optimale et devient plus vulneÌrable aux facteurs asseÌchants », dit Nathalie Pelletier. Bonnes strateÌgies Nettoyage Lâeau du robinet, souvent trop calcaire, est lâennemie jureÌe de la peau seÌche. Un lait sans rinçage, une huile deÌmaquillante, une eau micellaire vont dissoudre la saleteÌ tout en douceur. Il faut rechercher un nettoyant composeÌ dâagents hydratants et apaisants, tels que des extraits de graines de lin, de lâaloeÌs, de lâhuile dâavocat ou de graines de tournesol, selon Nathalie Pelletier. Hydratation Rien ne sert dâeÌtouffer la peau sous une eÌpaisse couche ultragrasse si le produit ne contient pas ce quâil faut pour relancer la production naturelle de nos propres lipides », preÌvient William Gauthier. Les cires et les huiles veÌgeÌtales permettent de nourrir, de renforcer et de reconstruire la barrieÌre cutaneÌe. Fait aÌ souligner le beurre de kariteÌ a des proprieÌteÌs reÌgeÌneÌrantes hors du commun. Lâhuile dâamande, de noix de coco, de chanvre, le squalane, le jojoba et la lanoline agissent aussi comme corps gras pour favoriser la reÌtention dâeau », signale le Dr Steve Mathieu, dermatologue et chef du Service de dermatologie au CHU de QueÌbec. On nâheÌsite pas aÌ chouchouter lâeÌpiderme avec des creÌmes et des seÌrums aÌ base dâacide hyaluronique le super hydratant qui retient 1 000 fois son poids en eau, de ceÌramides, de glyceÌrine, toujours non comeÌdogeÌnes, comme le suggeÌre Rocio Rivera, vice-preÌsidente, communications scientifiques, chez LâOreÌal Paris. Exfoliation On doit y aller avec preÌcaution avec cette grande fragile. Pas plus que deux fois/semaine une seule pendant lâhiver. Un exfoliant chimique aux acides hydroxyleÌs glycolique, salicylique ou lactique combineÌs aÌ des agents hydratants ex beurre de kariteÌ et apaisants ex allantoiÌne, une moleÌcule aux vertus cicatrisantes sera bien toleÌreÌ. Masques Formules hydratantes et apaisantes pour ameÌliorer le confort cutaneÌ. Peau normale Comment la reconnaiÌtre VelouteÌe, pulpeuse et eÌlastique. Teint uniforme et lumineux. Les pores sont peu visibles. Bonnes strateÌgies Nettoyage Gel, mousse, huile, lait tout est permis. Si le produit nâest pas adapteÌ, la peau enverra des signaux dâalarme â inconfort, rougeurs, imperfections. Nathalie Pelletier proÌne des formules douces avec un pH physiologique proche de celui de la peau. Hydratation ProteÌger lâhydratation avec de lâacide hyaluronique fait partie des mantras beauteÌ, quel que soit le type de peau. Il faut aussi se discipliner aÌ entretenir le capital jeunesse. William Gauthier preÌconise des formules qui stimulent la production de collageÌne la proteÌine qui maintient lâeÌlasticiteÌ de la peau et qui respectent le microbiome cutaneÌ. Mon plus preÌcieux conseil appliquer un soin solaire tous les jours, meÌme si on reste aÌ lâinteÌrieur de la maison. Câest le meilleur antirides preÌventif qui existe », ajoute-t-il. Exfoliation Une aÌ deux fois/semaine. En plus dâilluminer le teint, ce geste favorise la reÌgeÌneÌrescence cellulaire et a une action anti-aÌge. IngreÌdient peau sublime Le reÌtinol ou vitamine A contribue aÌ embellir la peau. La moleÌcule porteÌe aux nues par les scientifiques multiple les effets beÌneÌfiques sur les rides, la fermeteÌ, lâeÌclat, les pores et la preÌvention des imperfections. ReÌputeÌ irritant, il a eÌteÌ reformuleÌ en dâautres formes dâacide reÌtinoiÌque, mieux toleÌreÌes. Des soins utilisent la technique de lâencapsulation, qui relaÌche peu aÌ peu le reÌtinol dans lâeÌpiderme, limitant ainsi les reÌactions. Pour les peaux intoleÌrantes, il existe le bakuchiol, un actif botanique qui offre les avantages anti-aÌge des reÌtinoiÌdes. Peau grasse Comment la reconnaiÌtre Grain irreÌgulier, aspect huileux, pores dilateÌs, comeÌdons et boutons. Elle est plus eÌpaisse que les autres types de peaux. Deux privileÌges la surproduction de seÌbum la preÌserve du desseÌchement⊠et les rides sây installent plus tardivement ! Causes HeÌreÌditeÌ, hormones capricieuses, stress, pollution⊠Aussi, de mauvaises habitudes comme le nettoyage exageÌreÌ du visage et lâusage reÌpeÌteÌ dâexfoliants irritants et de produits comeÌdogeÌnes, selon le Dr Mathieu. Bonnes strateÌgies Nettoyage Il faut agir en douceur, pas plus de deux fois par jour, sinon la machine sâemballe. Un nettoyant aÌ lâacide salicylique libeÌre les pores obstrueÌs par un exceÌs de seÌbum et de cellules mortes », dit Nathalie Pelletier. On peut aussi faire appel aÌ un produit sans savon et exempt dâeÌthanol un alcool desseÌchant, preÌsent dans certains soins pour peaux grasses. Hydratation On ne doit jamais sauter cette eÌtape, met en garde William Gauthier. Ce type de peau exige une bonne hydratation. Elle sâirrite facilement, deÌs quâelle subit des agressions », preÌcise-t-il. Le choix est vaste pour subvenir aÌ ses besoins sans la huiler davantage creÌmes leÌgeÌres non grasses, soins aÌ base dâeau, formules matifiantes qui absorbent le seÌbum. CoÌteÌ ingreÌdients, on recommande lâacide salicylique et des agents anti-inflammatoires ex. niacinamide, camomille ou allantoiÌne pour apaiser la peau quand elle est en proie aÌ une pousseÌe de boutons. Un seÌrum au reÌtinol resserrera les pores attention toujours utiliser le soir et appliquer une creÌme solaire haute protection le lendemain matin. EÌvidemment, un soin aÌ lâacide hyaluronique sera plus que bienvenu pour voler au secours de cette peau souvent deÌshydrateÌe. Exfoliation Un exfoliant chimique dissoudra en douceur les cellules mortes sans besoin de frictionner. Cela eÌvitera de stimuler la production de seÌbum. Masques Des formules aÌ base dâargile blanche ou verte, enrichies dâacide salicylique, ont une action astringente, apaisante, seÌboreÌgulatrice et antibacteÌrienne, en plus de deÌsobstruer les pores. Huiles Certaines huiles veÌgeÌtales ont des effets beÌneÌfiques sur les peaux grasses â aussi eÌtonnant que cela puisse paraiÌtre â graÌce aÌ leurs vertus anti-inflammatoires et antibacteÌriennes⊠mais aÌ condition dâeÌtre non occlusives. Parmi les incontournables peÌpins de raisin, marula, jojoba et noisette. Peau mixte Comment la reconnaiÌtre Deux situations cutaneÌes se coÌtoient exceÌs de seÌbum, pores dilateÌs et points noirs sur la fameuse zone T et eÌpiderme normal ou deÌshydrateÌ sur le reste du visage. Câest le type de peau le plus reÌpandu et le plus complexe. Causes Voir peau seÌche et peau grasse. Bonnes strateÌgies Nettoyage Un nettoyant doux sans parfum, sous forme de gel ou de lait, peut geÌrer les deux zones, selon le Dr Steve Mathieu. Hydratation Cette eÌtape est un peu plus deÌlicate. On peut appliquer un soin pour peau seÌche le matin, et un pour peau grasse le soir. William Gauthier reÌveÌle son truc pour contourner la difficulteÌ reÌpondre aux besoins de chaque zone en eÌtalant des produits cibleÌs lâhydratant matifiant sur la surface meÌdiane et celui pour peau seÌche sur le reste du visage. Des actifs aÌ rechercher pour travailler lâeÌclat la vitamine C et la vitamine B3 ou niacinamide, la star montante des soins cutaneÌs. Exfoliation Soin exfoliant enzymatique aÌ base dâAHA. Masques Tout comme dans le cas des hydratants, il est quasi impossible de trouver le masque ideÌal pour ce type de peau. La technique du multimasking multimasque permet de traiter chaque section du visage selon ses exigences un soin purifiant sur la zone T et un autre pour hydrater le reste. Petit extra Le nez continue de briller ? On garde aÌ porteÌe de main des lingettes matifiantes, qui absorbent lâexceÌdent de seÌbum. Peau Ă tendance acnĂ©ique Comment la reconnaiÌtre LâacneÌ adulte ou tardive se manifeste surtout dans le bas du visage. Des boutons blancs pustules ou rouges papules apparaissent sur le menton, les maÌchoires et le deÌcolleteÌ. Câest une affection cutaneÌe douloureuse qui laisse des cicatrices, car plus on gagne en aÌge, moins la peau se renouvelle rapidement », souligne William Gauthier. Causes HeÌreÌditeÌ, meÌdication anovulants, antideÌpresseurs, stress, fluctuations hormonales menstruations, grossesse, meÌnopause, insomnie⊠et plus reÌcemment, port du masque voir lâencadreÌ MascneÌ â La peau en crise ». Un adulte sur quatre est toucheÌ. Bonnes strateÌgies Nettoyage On suggeÌre le plus souvent des pains dermatologiques ou des gels doux enrichis dâacide salicylique qui exfolient en douceur. Lors des ablutions, opter pour lâeau tieÌde. Pour finir en beauteÌ ? Rocio Rivera recommande une lotion tonique aÌ lâacide glycolique â elle eÌclaircit le teint. Hydratation EÌtape cruciale ! Pour preÌvenir seÌcheresse et irritations, on ne leÌsine pas, avec une formule bourreÌe de ceÌramides. Avant dâaller au lit une creÌme de nuit leÌgeÌre aÌ lâacide salicylique. Exfoliation Une fois/semaine. Les acides AHA et BHA sont dâexcellents exfoliants, estime Nathalie Pelletier. Lâacide salicylique limite lâexceÌs de seÌbum, deÌsincruste les pores et neutralise les bacteÌries responsables de lâacneÌ. En plus, il a des vertus anti-inflammatoires. Lâacide glycolique est un treÌs bon allieÌ pour faire peau neuve », dit Rocio Rivera. Masques Voir peau grasse. Deux mots aÌ retenir apaiser et hydrater. EÌviter dâasseÌcher, car la peau va compenser en produisant plus de seÌbum⊠et sâensuivra la cascade dâenfer, juge Rocio Rivera. Vade retro, bouton Des ingreÌdients amis pour les cas dâacneÌ leÌgers aÌ modeÌreÌs le peroxyde de benzoyle bacteÌricide et anti-inflammatoire, la vitamine B3 pour diminuer le feu des boutons et cicatriser les leÌsions, lâhuile dâarbre aÌ theÌ antibacteÌrienne et antiseptique, elle calme la douleur des eÌruptions, les reÌtinoiÌdes deÌriveÌs de la vitamine A qui reÌduisent lâobstruction des pores, le soufre pour nettoyer les pores et reÌguler la production de seÌbum. Les adeptes de produits naturels peuvent se tourner vers des huiles veÌgeÌtales neem, noisette, theÌ vert ou blanc et tamanu. MascneÌ La peau en crise Contraction de masque et dâacneÌ, la mascneÌ est une affection qui sâest deÌveloppeÌe de façon exponentielle depuis la pandeÌmie. La friction du masque sur le visage augmente lâhyperkeÌratose folliculaire [surproduction de keÌratine qui se manifeste par de petites bosses dures dans les follicules pileux]. Ajoutons aÌ cela lâhumiditeÌ causeÌe par la respiration et les bacteÌries de la bouche. Câest une combinaison de facteurs qui contribuent au deÌveloppement des boutons », explique la Dre EÌmilie Bourgeault. Les mesures aÌ prendre changer de masque toutes les quatre heures pour eÌliminer lâhumiditeÌ et la contamination bacteÌrienne, et hydrater la peau pour proteÌger la barrieÌre cutaneÌe.
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ï»żAccueil âąAjouter une dĂ©finition âąDictionnaire âąCODYCROSS âąContact âąAnagramme Classement selon la sensibilitĂ© de la peau â Solutions pour Mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s Recherche - Solution Recherche - DĂ©finition © 2018-2019 Politique des cookies.
Brucellaest lâagent responsable de la brucellose, maladie infectieuse et contagieuse chez lâanimal, transmissible Ă lâhomme et de rĂ©partition mondiale. Brucella est un coccobacille Ă Gram nĂ©gatif intracellulaire facultatif, de 0,5 Ă 0,7 ”m de diamĂštre et 0,5 Ă 1,5 Brucella melitensis”m de longueur. Les cellules sont immobiles et ne forment ni flagelle
Objectifs pĂ©dagogiques ConnaĂźtre les diffĂ©rents types de LAP ConnaĂźtre les critĂšres de gravitĂ© ConnaĂźtre les principales stratĂ©gies thĂ©rapeutiques mĂ©dico-chirurgicales et leurs indications ConnaĂźtre la place des traitements immunosuppresseurs et les biothĂ©rapies ConnaĂźtre la place des traitements obturateurs et des cellules souches Testez-vousNous vous invitons Ă tester vos connaissances sur lâensemble des QCU tirĂ©s des exposĂ©s des diffĂ©rents POST'U. Les textes, diaporamas ainsi que les rĂ©ponses aux QCM seront mis en ligne Ă lâissue des prochaines journĂ©es vos connaissances sur le sujet. Les 5 points forts Les lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn ont une incidence Ă©levĂ©e et sont de mauvais pronostic elles se compliquent et laissent des sĂ©quelles fonctionnelles. Lâexploration par IRM pelvi-pĂ©rinĂ©ale est nĂ©cessaire suppuration et non suffisante lĂ©sions non fistuleuses au bilan anatomique des lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales. LâĂ©valuation des lĂ©sions doit combiner examen proctologique et IRM. Le traitement des abcĂšs est chirurgical le recours exclusif aux antibiotiques nâest pas suffisant. Les anti TNF alpha permettent de tarir les suppurations mais la cicatrisation nâest effective quâune fois sur trois. Les techniques chirurgicales dâĂ©pargne sphinctĂ©rienne ont encore besoin de progresser. Conflits dâintĂ©rĂȘt Takeda, MSD, Ferring, AbbVie Mots-clĂ©s maladie de Crohn, fistules anales, anti TNF alpha DĂ©finitions et position du problĂšme On appelle lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn, lâensemble des lĂ©sions attribuĂ©es Ă la maladie de Crohn qui touchent le canal anal, la peau du pĂ©rinĂ©e, le bas-rectum et la cloison recto-vaginale. Les principales lĂ©sions Ă©lĂ©mentaires sont reprĂ©sentĂ©es par les ulcĂ©rations, les suppurations et les stĂ©noses. La notion de lĂ©sion primaire correspond au processus contemporain dâune poussĂ©e aiguĂ« de la maladie de Crohn elles sont principalement reprĂ©sentĂ©es par les ulcĂ©rations. Les suppurations et les stĂ©noses sont souvent considĂ©rĂ©es comme la consĂ©quence des lĂ©sions primaires on parle de lĂ©sions secondaires. La nature crohnienne des lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales est souvent Ă©voquĂ©e devant un processus trĂšs inflammatoire, un Ă©paississement de la peau pĂ©ri-anale, des marisques ĆdĂ©mateuses, des lĂ©sions multiples, des lĂ©sions qui sâĂ©tendent au-dessus de la ligne pectinĂ©e Figure 1. Les fistules prennent classiquement naissance au sein dâune ulcĂ©ration ou dans une cicatrice plutĂŽt quâau niveau des cryptes du canal anal. Les lĂ©sions Ă©lĂ©mentaires de la maladie de Crohn sont rarement isolĂ©es et elles sont le plus souvent observĂ©es en association. La prĂ©sence dâune stĂ©nose du canal anal ou du rectum est trĂšs souvent associĂ©e Ă un processus inflammatoire et suppuratif [1]. Les ulcĂ©rations anales sont compliquĂ©es dâune suppuration dans la moitiĂ© des cas [2]. Figure 1. LĂ©sions primaires anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn. Les ulcĂ©rations sont multiples et ne ressemblent en rien dans leur aspect ou leur topographie Ă une fissure anale. Les bords sont dĂ©collĂ©s, oedĂ©mateux et la composante inflammatoire est majeure. Notez, sur la photographie de droite, le fond de lâulcĂ©ration qui met Ă nu un sphincter anal interne partiellement lĂ©sĂ© par le processus. Les Ă©tudes en population prĂ©cisent lâincidence des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn de façon plus fidĂšle que les Ă©tudes de centres de recours ou les Ă©tudes collaboratives [3, 4]. Lâincidence des suppurations anales concerne plus de 21 % des malades souffrant dâune maladie de Crohn aprĂšs 15 ans dâĂ©volution. Lâincidence des lĂ©sions non fistuleuses est de 20 % pour les ulcĂ©rations et de 5 % pour les stĂ©noses. Finalement, câest plus dâun malade sur trois qui aura une atteinte anale, 15 ans aprĂšs le dĂ©but de la maladie de Crohn. Les malades prĂ©sentant une lĂ©sion primaire de type dâulcĂ©ration ont un risque de deux fois supĂ©rieur de dĂ©velopper une suppuration anale. Les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn cicatrisent lentement. Les ulcĂ©rations anales ne sont durablement cicatrisĂ©es que dans 40 % des cas, aprĂšs un an de suivi [5]. Les suppurations anales complexes imposent souvent un ou plusieurs gestes de drainage et la durĂ©e de prise en charge excĂšde souvent plus dâun an. Les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn constituent un processus inflammatoire chronique et exposent Ă un risque propre de dysplasie et de cancer du canal anal, du rectum ou dans le trajet de la suppuration chronique. Elles imposent une vigilance particuliĂšre notamment dans le cas des stĂ©noses anorectales et justifient la rĂ©alisation de biopsies. Contrairement Ă une opinion rĂ©pandue, les lĂ©sions proctologiques de la maladie de Crohn sont souvent symptomatiques et handicapantes. Les symptĂŽmes associĂ©s aux lĂ©sions anales de la maladie de Crohn sont principalement reprĂ©sentĂ©s par des douleurs en rapport avec une suppuration sous tension ou un syndrome fissuraire. Il existe frĂ©quemment des phĂ©nomĂšnes de suintement et dâĂ©mission de pus, parfois un syndrome rectal, des difficultĂ©s dâĂ©vacuation ou des troubles de la continence fĂ©cale. Les manifestations douloureuses permanentes doivent toujours faire craindre une suppuration profonde sous tension. Les difficultĂ©s dâĂ©vacuation peuvent ĂȘtre le tĂ©moin dâune stĂ©nose du canal anal ou du bas-rectum. Les troubles de la continence fĂ©cale peuvent ĂȘtre en rapport avec des sĂ©quelles de lĂ©sion sphinctĂ©rienne, mais elles peuvent ĂȘtre Ă©galement liĂ©es Ă un processus inflammatoire de la paroi rectale ou Ă une fistule rectovaginale. En conclusion, la prĂ©valence Ă©levĂ©e des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn incite Ă rechercher systĂ©matiquement des symptĂŽmes proctologiques lors des consultations de suivi. Lâexamen proctologique doit ĂȘtre systĂ©matique. La prĂ©sence de lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn grĂšve le pronostic de la maladie. La constatation dâune ulcĂ©ration anale est le tĂ©moin dâune Ă©volutivitĂ© de la maladie de Crohn [2]. Plusieurs Ă©tudes de cohortes soulignent que la prĂ©sence de lĂ©sions anales inaugurales de la maladie de Crohn reprĂ©sente un facteur indĂ©pendant de complications ultĂ©rieures de la maladie de Crohn dans son ensemble [6]. La moitiĂ© des gestes chirurgicaux, effectuĂ©s dans le cadre de la prise en charge thĂ©rapeutique de la maladie de Crohn, concerne des gestes proctologiques[7]. La prĂ©sence de lĂ©sions anales de la maladie de Crohn peut Ă©galement provoquer des dĂ©labrements sphinctĂ©riens importants et irrĂ©versibles le sphincter anal interne est souvent lĂ©sĂ© en cas dâulcĂ©ration profonde du canal anal ou en cas de suppuration. Le sphincter anal externe peut ĂȘtre lĂ©sĂ© en cas de suppuration ou en cas de chirurgies de drainage itĂ©ratives. Les stratĂ©gies ultĂ©rieures de rĂ©paration sphinctĂ©rienne sont inopĂ©rantes sphincter anal interne ou non Ă©valuĂ©es dans cette indication sphincter anal externe. Cette gravitĂ© anatomique particuliĂšre influence Ă la fois les symptĂŽmes fonctionnels, la qualitĂ© de vie et les stratĂ©gies de prise en charge thĂ©rapeutique. Les troubles de la continence fĂ©cale sont reportĂ©s avec une prĂ©valence trĂšs Ă©levĂ©e dans certaines Ă©tudes de cohortes de centres tertiaires les trois quarts des patients ressentent des phĂ©nomĂšnes dâincontinence, et, pour la moitiĂ© dâentre eux des accidents rĂ©guliers ou frĂ©quents [8]. La qualitĂ© de vie peut ĂȘtre altĂ©rĂ©e par ces troubles fonctionnels sĂ©quellaires, mais Ă©galement par les phĂ©nomĂšnes de suintement et la prĂ©sence de drains pendant plusieurs mois aprĂšs les interventions chirurgicales [9]. MĂȘme lorsque les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn sont prises en charge, les patientes retardent souvent lâĂ©chĂ©ance de leur premiĂšre grossesse de plusieurs annĂ©es comparativement Ă celles qui nâont pas de lĂ©sion anale [10]. La sĂ©vĂ©ritĂ© des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn est corrĂ©lĂ©e Ă la taille des lĂ©sions et Ă leur retentissement anatomique. Plusieurs classifications sont proposĂ©es pour quantifier cette gravitĂ©. La classification la plus courante est celle de Cardiff ou classification UFS qui offre lâavantage de prendre en considĂ©ration lâensemble des lĂ©sions anales de la maladie en trois rubriques classiques ulcĂ©ration, fistules et abcĂšs, stĂ©nose Tableau I [11]. Les recommandations amĂ©ricaines proposent une autre classification des fistules, en sĂ©parant schĂ©matiquement les fistules simples superficielles, intersphinctĂ©riennes, transsphinctĂ©riennes basses et les fistules complexes intersphinctĂ©riennes hautes, transsphinctĂ©riennes hautes, extra sphinctĂ©riennes, suprassphinctĂ©riennes, recto-vaginales, Ă trajets multiples [12]. Ces classifications sont proches mais la classification de Cardiff est facile Ă mĂ©moriser et Ă utiliser en pratique courante, dans sa version simplifiĂ©e. Dans les essais thĂ©rapeutiques ou les Ă©tudes de cohortes, une classification anatomo-fonctionnelle simple est utilisĂ©e pour quantifier la sĂ©vĂ©ritĂ© des lĂ©sions anales Tableau II. Elle est facilement Ă©valuable en pratique clinique elle recueille deux donnĂ©es symptomatiques, deux donnĂ©es dâexamen clinique et une donnĂ©e de retentissement personnel des troubles. Elle permet une quantification globale sous forme dâun score et elle est facile Ă mĂ©moriser [13]. LâĂ©valuation clinique de la gravitĂ© des lĂ©sions anales se heurte malheureusement Ă deux Ă©cueils importants qui sont une concordance inter observateur parfois insuffisante en fonction du type de lĂ©sion dâune part, un manque de sensibilitĂ© pour le diagnostic et lâĂ©valuation des suppurations dâautre part. En effet, lâĂ©valuation et la description des lĂ©sions sont trĂšs variables lorsquâelles sont apprĂ©ciĂ©es par des praticiens diffĂ©rents et de façon indĂ©pendante. Il existe un relatif consensus pour qualifier le caractĂšre inflammatoire dâun orifice externe, mais pas pour la qualitĂ© du drainage ou le caractĂšre complexe ou non de la fistule. LâĂ©valuation de la sĂ©vĂ©ritĂ© dâune ulcĂ©ration anale ne bĂ©nĂ©ficie pas dâune bonne concordance inter observateur [14]. Tableau I. Classification anatomique Ă©lĂ©mentaire des lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales de la maladie de Crohn dite de Cardiff [11]. En pratique courante, le classement des lĂ©sions peut se rĂ©sumer Ă un acronyme UFS en adjoignant une valeur numĂ©rique Ă chaque lettre en fonction de la sĂ©vĂ©ritĂ© de la lĂ©sion de 0 Ă 2. Ăcoulement de pus ou de matiĂšre par lâorifice 0 â Aucun 1 â Minime Ă©coulement de pus 2 â Ăcoulement modĂ©rĂ© de pus 3 â Important Ă©coulement de pus 4 â Ăcoulement de matiĂšres SensibilitĂ© et douleurs 0 â Aucune perception 1 â Inconfort minime 2 â Inconfort modĂ©rĂ© 3 â Inconfort important 4 â Douleur importante Retentissement sur la sexualitĂ© 0 â Aucune restriction 1 â Minime 2 â Moyenne 3 â Importante 4 â Inenvisageable Nature des lĂ©sions 0 â Aucune ou marisque 1 â Fissure 2 â Moins de 3 fistules 3 â Trois fistules et plus 4 â UlcĂ©ration avec dĂ©collement Induration palpatoire lors de lâexamen clinique 0 â Aucune 1 â Minime 2 â ModĂ©rĂ©e 3 â Importante 4 â AbcĂšs Tableau II. Principaux items symptomatiques et anatomiques recueillis lors de lâentretien et lâexamen clinique dâune personne ayant des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn. Chaque item est associĂ© Ă une valeur de pondĂ©ration numĂ©rique. Lâanalyse de lâensemble des items permet dâobtenir un score global de sĂ©vĂ©ritĂ© qui peut varier entre 0 et 20 score PDAI pour Perineal Disease Activity Index. AdaptĂ© de Irvine [13] Lorsquâon compare les donnĂ©es de lâexamen clinique Ă celle de lâIRM en utilisant la mĂȘme classification, il apparaĂźt que la concordance entre les donnĂ©es cliniques et radiologiques nâest correcte que dans 58 % des cas pour Ă©valuer la gravitĂ© des fistules [15]. Lâexamen clinique sous-estime les fistules complexes dans un quart des cas et elle surestime les fistules simples dans trois quarts des cas Tableau III. Dans le cas particulier des suppurations anales, lâ est incontournable parce quâelle permet dâapprĂ©cier la gravitĂ© des lĂ©sions avec une meilleure sensibilitĂ© que lâexamen clinique. Elle repose sur une description prĂ©cise des lĂ©sions et de leur topographie. Elle permet Ă©galement la dĂ©termination dâun score dâactivitĂ© qui a un intĂ©rĂȘt pronostique, Ă la fois dans la prise en charge immĂ©diate, et dans lâĂ©volution Ă distance de la suppuration Tableau IV [16]. Il est important pour le clinicien qui prend en charge les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn de disposer dâun examen radiologique de qualitĂ© avec des sĂ©quences pondĂ©rĂ©es T2 pour la recherche des collections Figure 2. Cependant, les sĂ©quences pondĂ©rĂ©es T1 bĂ©nĂ©ficient dâune meilleure rĂ©solution anatomique et elles permettent dâĂ©valuer de façon sensible le niveau inflammatoire de la suppuration Tableau V. A lâinverse, la sensibilitĂ© diagnostique de lâIRM est trĂšs insuffisante au diagnostic des ulcĂ©rations anales souvent identifiĂ©es comme des fistules intersphinctĂ©riennes et des stĂ©noses [15]. Tableau III. Analyse comparative du classement de sĂ©vĂ©ritĂ© des fistules anales de Crohn selon quâil soit rĂ©alisĂ© par un simple examen clinique ou lors dâune exploration IRM. Bien quâutilisant le mĂȘme outil de classification Cardiff, la concordance nâest observĂ©e que dans un peu plus de la moitiĂ© des cas adaptĂ© de Garros et al. [15] Nombre de trajets 0 â Aucun 1 â Simple direct 2 â Simple ramifiĂ© 3 â Multiple Localisation du trajet principal de la suppuration 1 â IntersphinctĂ©rien 2 â TranssphinctĂ©rien 3 â Supra sphinctĂ©rien Extension maximale de la suppuration en profondeur 1 â Sous lĂ©vatorienne 2 â Supra lĂ©vatorienne Hyper signal du trajet fistuleux en sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T2 0 â Absent 4 â ModĂ©rĂ© 8 â ĂlevĂ© Collection de plus de 3 mm 0 â Absente 4 â PrĂ©sente Epaisseur de la paroi rectale 0 â Non 2 â Oui Tableau IV. Principaux items recueillis lors de lâanalyse IRM dâune suppuration anale de Crohn. Chaque item est associĂ© Ă une valeur de pondĂ©ration numĂ©rique. Lâanalyse de lâensemble des items permet dâobtenir un score global de sĂ©vĂ©ritĂ© qui peut varier entre 0 et 22. Le recueil de ces informations et le calcul du score est aujourdâhui recommandĂ© par la sociĂ©tĂ© française de radiologie lors de lâĂ©dition de tout compte rendu. AdaptĂ© de Van Assche et al. [16] Figure 2. Comparaison de deux sĂ©quences pondĂ©rĂ©es T2 dâune suppuration anale haute et complexe sous lĂ©vatorienne avec rĂ©action inflammatoire supra lĂ©vatorienne celle de gauche avant saturation de la graisse, celle de droite aprĂšs saturation de la graisse Fat Sat. Le plan des muscles releveurs est matĂ©rialisĂ© par un aspect arciforme de part et dâautre lâaxe du canal anal. En sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T2 Les liquides sont blancs et la graisse aussi sauf aprĂšs retraitement numĂ©rique des images dite Fat Sat » saturation de la graisse. Lâinjection de gadolinium nâapporte pas beaucoup Ă lâinterprĂ©tation. Cette sĂ©quence a une grande sensibilitĂ© pour le diagnostic de collections. En sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T1 Les liquides sont noirs. Lâinjection de Gadolinium constitue un bĂ©nĂ©fice dâinterprĂ©tation majeur. Cette sĂ©quence est trĂšs spĂ©cifique et la qualitĂ© anatomique de lâanalyse est excellente. LâactivitĂ© des lĂ©sions peut ĂȘtre prĂ©cisĂ©e niveau inflammatoire, fibrose jeune. Tableau V. Lorsquâon analyse les images IRM, lâutilisation comparĂ©e des sĂ©quences pondĂ©rĂ©es permet une interprĂ©tation fine notamment dans le diagnostic des collections sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T2 et de lâimportance du processus inflammatoire et des rapports sphinctĂ©riens sĂ©quence pondĂ©rĂ©e T1. En conclusion, la sĂ©vĂ©ritĂ© habituelle des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn doit ĂȘtre prise en considĂ©ration mĂȘme lorsque la symptomatologie ne domine pas lâexpression de la maladie de Crohn. Le seul examen par IRM ne suffit pas Ă Ă©valuer correctement les lĂ©sions anales de la maladie de Crohn. LâĂ©valuation des lĂ©sions doit reposer Ă la fois sur les donnĂ©es dâun bon examen clinique ulcĂ©rations, stĂ©noses, fistule rectovaginale mais Ă©galement sur celles de lâIRM sĂ©vĂ©ritĂ© et extension de la suppuration, abcĂšs mal drainĂ©s profonds. Cette mĂ©thode radiologique tend Ă sâimposer Ă©galement dans lâĂ©valuation de lâefficacitĂ© des traitements mis en place pour le traitement des suppurations. Prendre en charge une suppuration anale de Crohn Ă la phase initiale La prise en charge dâune suppuration anale de Crohn Ă la phase aiguĂ« repose principalement sur le drainage des collections. La prĂ©sence dâun abcĂšs reprĂ©sente une des rares des indications de chirurgie urgente en proctologie. LâabcĂšs est trĂšs mal Ă©valuĂ© car sa diffusion au niveau des tissus mous de la graisse des fosses ischio anales ne le rend pas toujours accessible Ă un seul examen clinique. TrĂšs souvent, son importance est sous-estimĂ©e et la prise en charge urgente dans un centre non spĂ©cialisĂ© conduit parfois un retard Ă la prise en charge chirurgicale abcĂšs est jugĂ© non mĂ»r ». La difficultĂ© dâaccĂšs Ă une exploration radiologique de type IRM ne doit pas retarder la prise en charge chirurgicale lorsquâil existe un doute sur une suppuration sous tension. Une suppuration de petite taille en rapport avec une fistule simple peut devenir, en quelques heures, une suppuration complexe du fait de son extension et de sa prise en charge thĂ©rapeutique. La prĂ©sence dâun abcĂšs de 2 cm de diamĂštre ou plus, la survenue de manifestations douloureuses itĂ©ratives avec perception dâune sensation de tension dâune fistule anale, une induration palpatoire sensible sont les trois Ă©lĂ©ments qui doivent conduire Ă un geste de drainage non diffĂ©rĂ©. Le drainage chirurgical peut ĂȘtre effectuĂ© sous anesthĂ©sie locale lors dâune consultation lorsque lâabcĂšs est facilement accessible et peu profond. Il doit ĂȘtre rĂ©alisĂ© sous anesthĂ©sie gĂ©nĂ©rale dans les autres cas. Lâidentification dâun trajet fistuleux et dâun orifice interne doit conduire Ă mettre en place une anse de drainage. Lâappareil sphinctĂ©rien doit toujours ĂȘtre respectĂ© et un geste de mise Ă plat ne se conçoit Ă ce stade que pour les seuls dĂ©collements sous cutanĂ©s. Les antibiotiques ne peuvent pas reprĂ©senter, Ă eux seuls, la prise en charge dâun abcĂšs anal [12]. On ne dispose finalement pas dâessai randomisĂ© visant Ă Ă©valuer lâefficacitĂ© des mĂ©dicaments antibiotiques dans le traitement des fistules anales Ă la phase aiguĂ«. Les antibiotiques ayant une couverture anti Bacilles Gram nĂ©gatifs et anti anaĂ©robies sont habituellement prescrits ils encadrent le geste chirurgical. Le mĂ©tronidazole et la Ciprofloxacine sont les deux antibiotiques les plus rĂ©guliĂšrement prescrits. Les biothĂ©rapies nâont pas de place dans le traitement des suppurations lorsquâil existe une collection non ou mal drainĂ©e. Elles doivent mĂȘme ĂȘtre suspendues jusquâĂ la date du drainage. Les anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens utilisĂ©s de façon intempestive pour contrĂŽler lâintensitĂ© de la douleur sont formellement contre-indiquĂ©s. Cette stratĂ©gie est valide Ă la fois lors de la prise en charge dâun premier Ă©pisode de suppuration, mais Ă©galement dans le cadre dâune suppuration ancienne et/ou dĂ©jĂ opĂ©rĂ©e. En conclusion, la suspicion dâun abcĂšs ou dâune fistule insuffisamment drainĂ©e doit conduire en prioritĂ© Ă une prise en charge chirurgicale. Les autres stratĂ©gies non chirurgicales ne doivent pas ĂȘtre privilĂ©giĂ©es Ă ce stade. ThĂ©rapeutiques non chirurgicales des lĂ©sions anales de Crohn Fistules et suppurations On dispose dâune mĂ©ta-analyse du niveau de rĂ©ponse sous placebo observĂ© dans les essais cliniques visant Ă traiter des fistules anales de la maladie [17]. Cette mĂ©ta-analyse permet de prĂ©ciser le niveau de rĂ©ponse observĂ©e sous placebo mais aussi les facteurs qui sont associĂ©s Ă un niveau de rĂ©ponse plus Ă©levĂ©. Une amĂ©lioration symptomatique est observĂ© chez un malade sur cinq et un tarissement des fistules anales chez un peu plus dâun malade sur sept. Le taux de rĂ©ponse thĂ©rapeutique favorable est meilleur en cas dâadministration sous-cutanĂ©e du placebo, lorsque la durĂ©e de traitement est longue et lorsque lâĂ©valuation est tardive. Les mĂ©dicaments anti-TNF alpha permettent dâobtenir un meilleur tarissement des trajets fistuleux drainĂ©s que le placebo le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique initial semble se maintenir Ă lâoccasion du traitement dâentretien. La mĂ©ta-analyse des essais contrĂŽlĂ©s randomisĂ©s montre un bĂ©nĂ©fice deux Ă trois fois supĂ©rieur au placebo au terme du schĂ©ma dâinduction [18]. Le premier essai contrĂŽlĂ© randomisĂ© dĂ©diĂ© au traitement des fistules anales a Ă©tĂ© publiĂ© en 1999 [19]. Le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique Ă©tait, en termes dâamĂ©lioration symptomatique et de guĂ©rison, de 68 et 55 % sous Infliximab versus 26 et 13 % sous placebo respectivement au terme du traitement dâinduction. Le traitement dâentretien permettait, Ă un an, un tarissement durable de la fistule dans 36 % des cas sous Infliximab et 19 % sous placebo [20]. Des rĂ©sultats comparables Ă©taient rapportĂ©s avec lâadalimumab dans le cadre dâune analyse de sous-groupe dâessais non spĂ©cifiquement dĂ©diĂ©es aux fistules anales [21]. Des Ă©tudes sont actuellement en cours pour tester lâefficacitĂ© de vedolizumab dans cette indication. LâĂ©valuation de la rĂ©ponse thĂ©rapeutique reste un point crucial dans lâĂ©valuation de lâefficacitĂ© des traitements. Depuis la publication de lâessai princeps, le critĂšre de guĂ©rison repose sur lâabsence dâĂ©coulement de lâensemble des orifices externes visible soumis Ă une pression digitale douce et la rĂ©ponse symptomatique par lâabsence dâĂ©coulement dâau moins la moitiĂ© des orifices. Ce critĂšre a une pertinence clinique le malade va bien, mais il est finalement assez grossier quand il est comparĂ© aux donnĂ©es de lâIRM. LâexpĂ©rience dâun centre tertiaire a pu montrer que les deux tiers des malades considĂ©rĂ©s en cicatrisation clinique avaient des fistules encore actives sur le plan radiologique [22]. La rĂ©mission profonde en IRM ne concerne dans une autre expĂ©rience quâun tiers des patients alors que 53 % Ă©taient en rĂ©mission clinique aprĂšs 40 mois de traitement par infliximab [23]. Les travaux de cohortes apportent quelques arguments utiles Ă la prise en charge thĂ©rapeutique. Ils concernent certains Ă©lĂ©ments pronostiques du bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique prolongĂ© et lâanalyse des associations dans le contexte dâune prise en charge multimodale. Un travail multicentrique transversal rĂ©cent suggĂšre un lien statistique entre la proportion de malades cicatrisĂ©s et les taux rĂ©siduels dâinfliximabĂ©mie mesurĂ©s [24]. En dâautres termes, les taux Ă©taient trois fois supĂ©rieurs chez les malades ayant une fistule tarie que chez les malades ayant encore une fistule active. Dans un autre travail bicentrique analysant le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique de lâinfliximab chez 156 malades ayant une fistule anale de Crohn, une plus longue exposition Ă lâinfliximab ou encore lâassociation de lâinfliximab Ă lâazathioprine Ă©taient des facteurs indĂ©pendants de meilleure rĂ©ponse thĂ©rapeutique [25]. Plusieurs expĂ©riences de centres tertiaires illustrent la complexitĂ© dâanalyse dâefficacitĂ© des thĂ©rapeutiques lorsque sont associĂ©s des gestes chirurgicaux et des traitements. Ces stratĂ©gies combinĂ©es concernent finalement lâimmense majoritĂ© sinon la totalitĂ© des malades pris en charge lâazathioprine ou le methotrexate, lâinfliximab et la chirurgie sont proposĂ©s Ă 80 %, 77 % et 95 % des malades ayant une fistule de Crohn [26]. Le tarissement de la fistule est observĂ© plus de trois fois sur quatre aprĂšs un suivi de 48 mois, mais il est difficile dâanalyser la part des gestes chirurgicaux itĂ©ratifs ou des changements de traitement de fond dans le bĂ©nĂ©fice thĂ©rapeutique acquis. Finalement, lâefficacitĂ© des antibiotiques administrĂ©s sur des longues pĂ©riodes de temps nâest pas prise en considĂ©ration. Dans un essai contrĂŽlĂ© randomisĂ©, lâassociation de la ciprofloxacine Ă lâadalimumab pendant une pĂ©riode de 12 semaines doublait la proportion de rĂ©ponse complĂšte par rapport au placebo 65 % versus 33 %. Ce rĂ©sultat ne se maintenait pas aprĂšs lâarrĂȘt de lâantibiotique [27]. LĂ©sions anales non fistuleuses Les biothĂ©rapies nâont pas dâAMM dans cette indication, et les Ă©tudes de cohortes dĂ©diĂ©es Ă Ă©valuer leur efficacitĂ© sont peu nombreuses. Les ulcĂ©rations anales de la maladie de Crohn cicatrisent dans 47 et 70 % des cas aprĂšs un et deux ans de suivi respectivement [5]. Les ulcĂ©rations les plus sĂ©vĂšres cicatrisent plus lentement. Les malades traitĂ©s par infliximab seul ou associĂ© aux thiopurines ne cicatrisaient pas mieux ni plus vite dans ce travail [5] Les stĂ©noses du canal anal ont une prĂ©valence moindre, mais leur prise en charge thĂ©rapeutique est souvent dĂ©licate et le pronostic fonctionnel est clairement engagĂ©. La composante inflammatoire est souvent prĂ©sente et les suppurations complexes y sont associĂ©es dans deux tiers des cas. La rĂ©gression de la stĂ©nose est observĂ©e dans 32 et 45 % des cas aprĂšs un et deux ans de suivi respectivement. LâĂ©volution Ă©tait plus favorable encore chez les malades qui avaient une suppuration associĂ©e. Les malades traitĂ©s par infliximab seul ou associĂ© aux thiopurines ne cicatrisaient pas mieux ni plus vite dans ce travail rĂ©trospectif [1]. En conclusion, les anti-TNF alpha et en particulier lâinfliximab sont des mĂ©dicaments recommandĂ©s dans la prise en charge des suppurations anales de la maladie de Crohn drainĂ©e. Le bĂ©nĂ©fice symptomatique est franc chez plus dâune personne traitĂ©e sur deux, mais la rĂ©mission profonde radiologique ne concerne quâun malade sur trois. Il peut y avoir un bĂ©nĂ©fice Ă optimiser la dose, maintenir le traitement longtemps et associer des thiopurines et/ou la ciprofloxacine. Les stratĂ©gies de traitement dâentretien et de dĂ©sescalade de mĂȘme que les autres biothĂ©rapies manquent actuellement dâĂ©tudes dâĂ©valuation. Le bĂ©nĂ©fice des biothĂ©rapies et des immunosuppresseurs est probablement marginal dans les lĂ©sions anales non fistuleuses et nĂ©cessite dâĂȘtre Ă©valuĂ© par des Ă©tudes dĂ©diĂ©es. Obturer les fistules et limiter les sĂ©quelles des lĂ©sions anales Les stratĂ©gies de prise en charge des lĂ©sions anales de la maladie de Crohn reposent sur le concept de diminution du processus inflammatoire Ă la fois par le drainage de la suppuration et par lâutilisation des biothĂ©rapies. Ces stratĂ©gies sont souvent insuffisantes pour obtenir la fermeture complĂšte du trajet fistuleux. Le trajet nâest plus productif ou il lâest faiblement. Comme dans la maladie luminale, il existe une perte de rĂ©ponse au cours du suivi qui concerne environ un tiers des patients [22, 26]. Lâobjectif des stratĂ©gies dâobturation des trajets fistuleux est triple diminuer lâinconfort liĂ© Ă la persistance de passages de mucus ou de gaz, limiter le risque de rĂ©cidive de la suppuration nouvel abcĂšs sur le trajet de la fistule et Ă©pargner lâappareil sphinctĂ©rien pour limiter les troubles de la continence sĂ©quellaire. Des stratĂ©gies chirurgicales ont donc Ă©tĂ© proposĂ©es pour rĂ©pondre Ă cet objectif. Ces stratĂ©gies dites dâobturation ne peuvent ĂȘtre envisagĂ©es que lorsque les trajets sont bien drainĂ©s, peu inflammatoires, sans collection rĂ©siduelle et sans atteinte inflammatoire rectale. Les techniques les plus simples sont reprĂ©sentĂ©es par lâobturation du trajet fistuleux par une colle biologique, par un bouchon de bio collagĂšne ou par lâinjection in situ de cellules souches mĂ©senchymateuses. Les mĂ©thodes plus dĂ©licates reposent sur des stratĂ©gies chirurgicales de lambeau muco musculaire interposĂ© au niveau de lâorifice interne de la fistule anale lambeau rectal dâavancement ou par la ligature du trajet fistuleux dans sa traversĂ©e intersphinctĂ©rienne. Il existe enfin des alternatives plus innovantes encore, reprĂ©sentĂ©es par la coagulation du trajet fistuleux par procĂ©dĂ©s physiques laser, radiofrĂ©quence. Les autres techniques chirurgicales sont anecdotiques. On dispose de trois essais multicentriques contrĂŽlĂ©s randomisĂ©s contre placebo dĂ©diĂ©s Ă lâĂ©valuation du traitement des fistules anales de Crohn drainĂ©es. Un premier essai a Ă©valuĂ© lâefficacitĂ© de la colle biologique [28]. Huit semaines aprĂšs le geste dâobturation, un tiers des malades traitĂ©s par colle biologique ne prĂ©sentait plus dâĂ©coulement par le trajet fistuleux contre 16 % sous placebo. Le bĂ©nĂ©fice Ă©tait significativement meilleur chez les malades ayant une fistule simple. Ce rĂ©sultat ne se maintenait pas dans le temps puisque terme dâun suivi court de 16 semaines, 6 Ă 11 % des malades seulement gardaient un rĂ©sultat anatomique satisfaisant. La mise en place dâun bouchon de bio collagĂšne permet dâobtenir une fermeture du trajet fistuleux dans 33 % des cas contre 23 % sous placebo [29]. La diffĂ©rence nâĂ©tait pas statistiquement significative. En analyse per protocole, la moitiĂ© des malades Ă©tait en rĂ©mission clinique au terme de la premiĂšre annĂ©e de suivi sans diffĂ©rence entre les deux groupes. Lâinjection autour du trajet fistuleux dâune suspension de cellules souches mĂ©senchymateuses allogĂ©niques a Ă©galement fait lâobjet dâun essai contrĂŽlĂ© randomisĂ©. Tous les malades avaient Ă©galement une fermeture chirurgicale simple de lâorifice primaire [30]. MalgrĂ© une rĂ©ponse sous placebo Ă©levĂ©e plus dâun tiers des patients traitĂ©s il existait une diffĂ©rence significative en faveur des cellules souches avec un bĂ©nĂ©fice supplĂ©mentaire de 20 % analyse per protocole. Cette diffĂ©rence persistait selon que les malades Ă©taient ou non sous combothĂ©rapie au moment du traitement. Le temps mĂ©dian de rĂ©mission clinique Ă©tait de sept semaines aprĂšs injection de cellules souches contre quinze semaines sous placebo. Ce bon rĂ©sultat se maintenait dans le temps suivi Ă un et deux ans. En revanche les paramĂštres nâĂ©taient pas significativement modifiĂ©s. Il nâexiste pas dâessais contrĂŽlĂ©s randomisĂ©s spĂ©cifiquement dĂ©diĂ©es Ă lâanalyse dâefficacitĂ© du lambeau rectal dâavancement dans le traitement des fistules anales de Crohn. On dispose, en revanche, dâexpĂ©rience de centres tertiaires dans le traitement des fistules drainĂ©es crohniennes et non crohniennes ainsi que du traitement des fistules recto-vaginales. Globalement, cette opĂ©ration permet de cicatriser la moitiĂ© Ă deux tiers de malades, au terme de procĂ©dures parfois rĂ©pĂ©tĂ©es [31]. Dans certains travaux rĂ©cents, les malades avec fistule de Crohn ont un rĂ©sultat fonctionnel et anatomique comparable Ă ceux ayant une fistule anale dâorigine cryptique. En cas de traitement de fistules crohniennes par lambeau rectal dâavancement, le recours associĂ© aux anti-TNF alpha permettrait dâobtenir de meilleures chances de guĂ©rison. La rĂ©alisation dâune stomie de dĂ©rivation permet dâaugmenter les chances de succĂšs dâun facteur deux Ă trois chez les malades ayant une fistule recto-vaginale, notamment en cas de rĂ©cidive de la suppuration aprĂšs un premier geste dâobturation [32]. Un essai contrĂŽlĂ© randomisĂ© rĂ©cent multicentrique a montrĂ©, dans les fistules dâorigine cryptique non crohniennes, un bĂ©nĂ©fice clair en faveur du lambeau rectal dâavancement 38 % de rechute Ă 12 mois par rapport Ă lâinsertion dâun bouchon de bio collagĂšne 66 % de rechute Ă 12 mois [33]. Cette stratĂ©gie thĂ©rapeutique pourrait ĂȘtre par extrapolation pour la prise en charge des suppurations anales drainĂ©es de la maladie de Crohn, notamment lorsque lâorifice interne est large. Finalement les stratĂ©gies dâĂ©pargne sphinctĂ©riennes sont souvent dĂ©cevantes lâinjection de cellules souches est aujourdâhui la mĂ©thode la plus efficace mais le bĂ©nĂ©fice anatomique Ă©valuĂ© en IRM questionne. Le lambeau rectal dâavancement manque dâĂ©valuation dans le champ des fistules anales de Crohn. Il reste une alternative sĂ©duisante dans une stratĂ©gie bĂ©nĂ©fice, risque et coĂ»ts favorable. Les sĂ©quelles fonctionnelles anorectales de la maladie de Crohn sont principalement dominĂ©es par les troubles de la continence, notamment chez les femmes [34]. Ce constat invite aujourdâhui Ă privilĂ©gier les stratĂ©gies qui limitent les lĂ©sions sphinctĂ©riennes comme les stratĂ©gies dâobturation Ă©voquĂ©es plus haut, mais ce ne sont pas les seules. Les approches chirurgicales du traitement des ulcĂ©rations et des stĂ©noses du rectum ou du canal anal ne sont pas recommandĂ©es. Les parturientes et leurs mĂ©decins sont plus facilement enclins Ă proposer une dĂ©livrance par cĂ©sarienne dont lâincidence est plus Ă©levĂ©e quâen population. Cette option peut ĂȘtre validĂ©e chez les patientes qui prĂ©sentent des lĂ©sions suppuratives actives et importantes au moment de lâaccouchement et chez celles qui ont des sĂ©quelles importantes avant lâaccouchement lĂ©sions sphinctĂ©riennes et troubles de la continence. En revanche, il nây a pas, aujourdâhui, dâargument pour impliquer la responsabilitĂ© de lâaccouchement par voie basse dans la survenue ou lâaggravation de lĂ©sions anales de la maladie de Crohn [10]. Le risque de survenue dâun phĂ©nomĂšne suppuratif aprĂšs dĂ©livrance est faible 8 % Ă un an et 12 % Ă deux ans. Ce sont davantage les Ă©vĂšnements liĂ©s Ă lâhistoire de la maladie de Crohn notamment les Ă©pisodes antĂ©rieurs de fistule que les conditions obstĂ©tricales Ă©pisiotomie qui conditionnent leur survenue. Conclusions Les lĂ©sions anopĂ©rinĂ©ales mĂ©ritent une attention particuliĂšre parce quâelles constituent un Ă©lĂ©ment de pronostic dĂ©favorable de lâhistoire naturelle de la maladie de Crohn. Elles se compliquent souvent, altĂšrent la qualitĂ© de vie et sont sources de sĂ©quelles fonctionnelles. Une vigilance particuliĂšre des cliniciens est attendue au stade du diagnostic des complications ne pas mĂ©connaĂźtre un abcĂšs, Ă la mise en Ćuvre de sĂ©quences thĂ©rapeutiques adaptĂ©es drainage, biothĂ©rapie, antibiothĂ©rapie et Ă lâaccompagnement de la prise en charge lorsque le processus inflammatoire est contrĂŽlĂ© obturation des trajets, sĂ©quelles fonctionnelles. RĂ©fĂ©rences Brochard C, Siproudhis L, Wallenhorst T, Cuen D, dâHalluin PN, Garros A, et al. Anorectal stricture in 102 patients with Crohnâs disease natural history in the era of biologics. Aliment Pharmacol Ther. 2014;407796-803. Wallenhorst T, Brochard C, Bretagne JF, Bouguen G, Siproudhis L. Crohnâs disease is there any link between anal and luminal phenotypes? Int J Colorectal Dis. 2016;312307-11. Schwartz DA, Loftus EV, Jr., Tremaine WJ, Panaccione R, Harmsen WS, Zinsmeister AR, et al. The natural history of fistulizing Crohnâs disease in Olmsted County, Minnesota. Gastroenterology. 2002;1224875-80. 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Danschaque numéro : Des reportages sur les animaux, la nature, l'environnement, la technologie, les pays lointains Une expérience facile et amusante.
Description L'annĂ©e psychologique - AnnĂ©e 1937 - Volume 38 - NumĂ©ro 1 - Pages 609-61911 pagesSource PersĂ©e ; MinistĂšre de la jeunesse, de lâĂ©ducation nationale et de la recherche, Direction de lâenseignement supĂ©rieur, Sous-direction des bibliothĂšques et de la documentation. Sujets Informations PubliĂ© par PubliĂ© le 01 janvier 1937 Nombre de lectures 24 Langue Français Extrait b SensibilitĂ© mĂ©canique et thermique de la peauIn L'annĂ©e psychologique. 1937 vol. 38. pp. ce document / Cite this document b SensibilitĂ© mĂ©canique et thermique de la peau. In L'annĂ©e psychologique. 1937 vol. 38. pp. CUTANEES ET SOUS-CUTANEES 609 pendantes de la voie pyramidale que le frisson dĂ» au refroidisse ment rĂ©el et exige aussi intĂ©gritĂ© cĂ©rĂ©belleuse Dans certaines lĂ©sions mĂ©dullaires on pu constater que les seuls muscles qui frissonnaient Ă©taient commandĂ©s par les segments spi naux recevant des influx affĂ©rents cutanĂ©s Il donc dans le frisson une rĂ©action prĂ©coce dĂ©clenchĂ©e par les excitations cutanĂ©es de refroidissement mais un niveau infra- cortical 994 VON BR CKE Ueber SinnestĂ€uschungen auf Grund eines MiszverhĂ€ltnisses zwischen Kraft-empfindungen und wahrgenommener Leistung Des illusions sensorielles fondĂ©es sur un faux rapport entre des sensations de force et la rĂ©alisation motrice per ue fĂŒr Sin. LXVII 1937 145-148 auteur souffrant de rhumatisme dans Ă©paule droite imagine en nageant il est dans un milieu extrĂȘmement visqueux et rĂ©sis tant illusion tient une certaine immobilisation antalgique de Ă©paule oĂč rĂ©sulte une moindre efficience motrice pour effort fourni et est cette moindre efficience per ue aprĂšs la lenteur de la progression qui donne impression une grande rĂ©sistance du milieu ConsidĂ©rations gĂ©nĂ©rales partir de ce petit fait 995 COSTA illusione di Poggendorft al tatto illusion de Poggendorff dans le domaine du tact Ar it di Ps. XV 1937 363-370 Ă©tudie illusion de Poggendorff dans le domaine du tact actif au moyen un dispositif spĂ©cial il dĂ©crit Les rĂ©sultats obtenus rĂ©vĂšlent la prĂ©sence constante de illusion erreur semble augmenter avec accroissement de la distance des parallĂšles et est plus grande une inclinaison de 30 avec une de 45 parti culiĂšrement avec un Ă©cartement de cm entre les Cette expĂ©rience confirme les rĂ©sultats obtenus par Revesz concernant cette mĂȘme illusion ainsi que hypothĂšse faite par dans ses recherches prĂ©cĂ©dentes sur existence Ă©lĂ©ments communs espace aveugle et espace visuel dans les perceptions spatiales SensibilitĂ© mĂ©canique et thermique de la peau1 996 BECKER et FR HLE Ueber die SensibilitĂ€t der druckpunktfreien Haut Sur la sensibilitĂ© de la peau privĂ©e de points de pression Pf A. CCXXXVIII 1937 592-597 Les auteurs dans une rĂ©gion de la cuisse points de pression peu denses localisent de ces points en triangle et les anesthĂ©sient une goutte de la solution de butocaĂŻne est dĂ©posĂ©e sur le point et on pique la peau avec une aiguille fine pointe AprĂšs anesthĂ©sie le seuil passe de 03 15-19 gr. un 4e point voisin son seuil quadruplĂ© et dans la rĂ©gion centrale le seuil Ă©lĂšve fois 1/2 la valeur initiale Voir aussi les noe 351 352 353 497 990 991 992 993 ANN PSyCHOLOOIIlĂŒE 39 610 ANALYSES BIBLIOGRAPHIQUES Si on anesthĂ©sie trois points ne correspondant pas des points de pression au centre le seuil est pas modifiĂ© La piqĂ»re seule sans anesthĂ©sique des points sensibles est- inefficace Les auteurs concluent il bien une rĂ©ception tactile cutanĂ©e- en dehors des points de Von Frey mais que au voisinage de ces points la sensibilitĂ© est assurĂ©e abord par ceux-ci leur anesthĂ©sie- entraĂźnant bien par suppression de leur intervention fonctionnelle une Ă©lĂ©vation de seuil 997 GUILFORD et LOVEWELL The touch- spots and the intensity of the stimulus Les points de tact et in tensitĂ© du stimulus of gen Ps. XV 1936 149-159 surfaces de cm2 furent explorĂ©es sur le dos de la main de sujets 200 points par cm2 Ă©tant testĂ©s avec des stimuli variant de 160 cg Le pourcentage des points positifs croĂźt 100 avec intensitĂ© Bien que des rĂ©ponses de douleur apparaissent parfois- dĂšs cg restant rares 40 cg. la courbe croĂźt rĂ©guliĂšrement en ogive avec un petit plateau vers 10 cg de points positifs selon les sujets Les soulignent surtout que les nouveaux points positifs ne accumulent pas autour des premiers qui peuvent mĂȘme cesser de rĂ©pondre pour un stimulus accru Il agirait donc de gradients de sensibilitĂ© de probabilitĂ© de rĂ©ponse et non de points de tact accroissement du aurait effets favorables exciter des rĂ©cepteurs moins sensibles augmenter la frĂ©quence influx Ă©tendre aire dĂ©formĂ©e donc la zone de recrutement Ă©tude est reprendre avec un tacteur mieux contrĂŽlĂ© un crin appliquĂ© et retirĂ© la main selon une vitesse et une incidence variables. 998 RICCI Sulla sensibilitĂ di differenza apprezza mento tattile di stimoli estesi applicati su regioni differenti della pelle Sur la sensibilitĂ© diffĂ©rentielle dans apprĂ©ciation tactile de stimuli Ă©tendus appliquĂ©s sur des rĂ©gions diffĂ©rentes de la peau Ar it di Ps. XV 1937 370-383 utilise des stimuli punctiformes Dans une premiĂšre sĂ©rie Ă©preuves le stimulus normal et le stimulus de comparaison Ă©taient appliquĂ©s sur avant-bras droit Dans une deuxiĂšme sĂ©rie le stimulus normal est appliquĂ© sur avant-bras droit et le stimulus de comparai son sur avant-bras gauche ou inversement Les rĂ©sultats recueillis confirment ceux prĂ©cĂ©demment obtenus par Gatti et Danesimo Le seuil absolu tend se maintenir constant et le seuil relatif de diffĂ©rence tend diminuer lorsque le stimulus accroĂźt 999 GILMER ThĂ© relation of vibratory sensitivity to pressure Le rapport entre la sensibilitĂ© vibratoire et la pression of exp Ps. XXI 1937 456-463 Pour trancher la question controversĂ©e de existence une- sensibilitĂ© tactile vibratoire distincte de la sensibilitĂ© la pression on explorĂ© diverses rĂ©gions du corps avec des vibrations mĂ©caniques ou Ă©lectriques de frĂ©quence variable Les rĂ©gions de la peau les plus CUTANEES ET SO LS-CĂŒTANEES 61t SENSATIONS sensibles la vibration mĂ©canique sont aussi les plus sensibles la pression Les points insensibles la pression sont relativement insensibles la Le courant Ă©lectrique ne donne de percep tion de vibration que sur les points sensibles la pression au voi sinage de ces points il donne la sensation de vibration brĂ»lante et dans les rĂ©gions privĂ©es de ces points celle de douleur Les seuils de vibration sont toujours plus Ă©levĂ©s que les seuils de douleur brĂ»lante auteur conclut que la vibration est autre chose- une pression intermittente 1000 CUMMINGS et WEDELL Adaptation vibratory stimuli Adaptation aux stimuli vibratoires Eastern Branch Am Ps Assoe. Ps Bul. XXXIV 1937 520-521 Application sur mm de diamĂštre la paume de la main une tige reliĂ©e un haut-parleur magnĂ©tique et dĂ©terminations de seuils chez sujets aprĂšs une stimulation continue de minutes 25 dt> au-dessus du seuil normal La rĂ©duction adaptative de sensibilitĂ© maxima pour une stimula tion de d. minima pour celle de 64 Ă©tend aux frĂ©quences plus Ă©levĂ©es mais peu aux frĂ©quences plus basses et augmente avec intensitĂ© de la stimulation avec de notables variations- individuelles 1001 BELLOWS An experimental isolation of some factors determining response to rythmic stimulation II Tempe rature isolement experimental de quelques conditions de lec rĂ©ponse une stimulation rythmique II TempĂ©rature of exp Ps. XX 1937 169-177 On dĂ©termine la frĂ©quence critique de fusion des sensations ctiles successives produites par un courant air intermittent dirigĂ© sur une rĂ©gion de la peau La tempĂ©rature de cet air est nullement indiffĂ© rente Entre et 80 le seuil est abord assez bas voisin de 50 pĂ©riodes par seconde puis il Ă©lĂšve abaisse ensuite entre 35 et 45 puis Ă©lĂšve de nouveau adaptation de la peau joue una rĂŽle La frĂ©quence critique est plus Ă©levĂ©e pour un courant air 37 quand la peau est adaptĂ©e une tempĂ©rature de 18 que quand elle est adaptĂ©e 37 1002 BELLOWS An experimental isolation of som factors determining response to rhythmic cutaneous stimula tion III Interpretation Isolement expĂ©rimental de quelques facteurs dĂ©terminant la rĂ©ponse des stimulations cutanĂ©es rythmi- quĂȘs III InterprĂ©tation Ps Rev. XLIV 1937 62-76 appareil permet de projeter rythmiquement un courant air de pression connue sur un point de la peau avec une frĂ©quence Ă©gale ment La pression est mesurĂ©e en mm par un manomĂštre mercure Le nombre de projections par secondes est comptĂ© Ă©lectri que
K4tZV. qq62ehkfxo.pages.dev/276qq62ehkfxo.pages.dev/50qq62ehkfxo.pages.dev/28qq62ehkfxo.pages.dev/397qq62ehkfxo.pages.dev/300qq62ehkfxo.pages.dev/211qq62ehkfxo.pages.dev/270qq62ehkfxo.pages.dev/26qq62ehkfxo.pages.dev/249
classement selon la sensibilité de la peau